Le chemin des Épices...[Libre]

Je marchais tranquillement,cela faisait si longtemps que je n’étais revenue en territoire elfique,au moins 10 ans...Les arbres centenaires,les voix douces et mélodieuses des Elfes,les odeurs fruités et acides qui sortait des maisons par les mêmes petites fenêtres rondes de ma dernière visite.Certes les Elfes ne sont pas connus pour leurs mobilités de plus qu'est ce que dix ans pour eux?Un battement de paupières surement pour ces êtres centenaires.Sur ce point les Elfes ne ressemblaient pas du tout aux Animas...

Je dépassa bientôt les dernières maisons pour suivre un sentiers dans les bois,des rires fusaient de droites a gauches sans que j'arrive a trouver leurs provenances.Ce gout du secret n’était pas ce que j’appréciais le plus chez eux.Au bout de cinq minutes le chemins en terres battus laissait place a une vaste clairières dont le sol était couvert de marchandises et donc les étals des marchands s’étalaient a perte de vue.Je souriais, j’étais arriver a destination.Le marche annuel des contrées de l'Ouest se tenait tous les ans dans cette clairière,les nains ivres vendait leurs précieux minerais a cotes des Elfes et leurs précieux remèdes médicinales.Dans un coin recules un groupe de vampires vendait des objets antiques issus des marécages mais ils étaient peu nombreux juste une poignée,la rumeur de la guerre proche était mauvaise pour le commerce.

Je passa rapidement le coins des tanneurs ou les odeurs pestilentielle de souffre se mélangeait a l'horrible odeur du cuir mouille qui séchait lentement.Je passa avec délice celui des cuisines ou les plats graisseux des humains se mélangeait avec les préparations elfiques aux odeurs amères de médicaments.Je m’arrêta en route pour m'acheter un beignet au miel et a la poudre fine et marron des cacaotiers du sud.Je regarda avec inquiétude ma bourse qui se vidait petit a petit.Il faudrait que je fasse attention si je veut m'acheter ce que je voulais au départ.

-Oui,tu devrais y aller au lieu de faire les magasins.
*Tiens je croyais que tu m'avais quitter..*
-Non,c'est juste que tes pensées matérialistes et puérile n’était pas au niveau de mon génie.
*Sa va les chevilles?Pas trop gonfler?*
-Peuh....

Nydrassil n'avait parler que peu souvent pendant le voyage que je croyais qu'il était partis mais il avait l'air de s'accrocher décidément être maître shaman n'a pas que des cotes positifs.....J'arriva enfin au quartier qui m'avait fait faire tout ce voyage:celui des Épices rares et magiques.Des sacs de toutes les couleurs étaient répandus devant les marchands sévères qui surveillait avec amour leurs précieux trésors.Les effluves me montaient a la tête l'odeur simple de la cannelle se mélangeait a celles complexes des herbes oniriques et celles acides et irritantes des plantes dangereuses.Je m’arrête devant une des étals,elle était plus simple que les autres et un épais rideaux fermait l’entrée.Je pénétra dans cette antre et constata que le décor était toujours le même qu'il a dix ans.Des sacs brillaient faiblement d'un éclat bleutes et semblait être des morceaux de diamants purs,deux gardes sombres aux allures menaçantes se dirigeaient vers moi quand un vieillard croulant sous les bagues et empestant le parfum de luxe vint me faire la bise.

-Handoar-Sai mon cher ami vient que je t'embrasse!Comment va ton maître?A c'est vrais il a disparu toutes mes condoléances,enfin les morts sont bien ou ils sont.Tu veut un thé?Ou une tisane?Comment va-tu?

-Bien Tanit-Sai,bien dis-je en riant je vois que tu a toujours pas changer toujours aussi bavard.

-Ecoute on ne change pas en un jour ou plutôt dix ans alors que me vaut ta visite?

-C'est pour causer affaires,pour la Poussière...

Quand je prononça ce mots,Tanit prit un air sévère et l'air semblai plus froid dans la pièce, même Nydrassil semblait retenir son souffle,les sacs brillaient plus intensément.La partie commença et au bout de deux heures et trois litres de thés a la menthe,je put enfin partir avec mon sac rempli de Poussières et ma bourse vide.Il m'avait fallu deux ans pour trouver l'argent mais soit j'avais mon précieux sables des étoiles qui tombaient une fois par siècles dans les Déserts du Sud mais qu'importent la provenance j'ai sous mon pouvoir un des plus puissants catalyseurs magiques qui existe dans les différents mondes,interdit par les Gardiens et les Dieux mais qu'importe avec cela sous mon pouvoir adieu la moquerie envers les Animas, même si la Poussière après chaque incantations disparaît très rapidement...Je revint a la realite quand je sentis une agitation a l'est de moi je me dirigea vers cette endroit,la curiosité et mon arme aux aguets.

Invité

La journée c'était annoncé radieuse... L'humidité de la nuit avait laissé place à un doux soleil qui effacerait bientôt toute traces de la rosé matinale. Faryl était revenu de sa promenade nocturne aux premières lueur du jour. Elle y restait habituellement des heures entières, sans que personne ne s’inquiète de la voir revenir, mais aujourd'hui étais un jour spécial. Les marchands s'étaient installé depuis peu dans la clairière, effrayant de leur pas lourd et malhabile chaque créature sur leur passage. Elle le savait, il lui était impossible de chasser durant cette période. Les créatures de la forêt se tenaient sur leurs gardes et restaient à l'abris des regards.

Mais loin d'être uniquement un sujet de déplaisir, le marché lui permettait d'acquérir toute sorte d'objet qu'elle ne pouvais avoir en tant normal. Elle s'y préparait depuis l'année précédente. Faryl accumulait toute sortes de plantes, de peau qu'elle stockait à l'abris des regards. C'était son trésor... Sa monnaie d'échange. Les marchands du marché annuel étaient les seuls à accepter le troc comme moyen de paiement. Si Faryl l'avais voulut, les elfes qui l'avait recueillit aurait volontiers apporter à sa mise des pièces sonnantes et trébuchantes, mais par esprit d'indépendance, elle avait toujours refusé. Elle se suffisait à elle même.

C'est après avoir déterrer ses possessions longuement accumulé que Faryl se rendit sur le marché. Elle ne mis pas longtemps à retrouver les hommes qui la connaissait. Elle troqua alors quelques bijoux d'os gravés contre des aiguilles et crochets de métal. L'aspect rustique et primaire des bijoux plairait a la femme du marchand qui pourrait alors se venter de l'exotisme de sa parure, et Faryl pourraient remplacer les aiguilles d'os qui se cassaient sans cesse; de même que ses hameçons. A un autre elle troqua des fourrures, contre des plantes sécher qui ne poussait pas ici. Elle en prenait grand soin, c'était sa meilleur monnaie d'échange avec les hommes vivant à l’extérieur des forêts, elle les abandonnaient d’ailleurs avec regret, voyant s'éloigner d'elle la tenue qui lui aurait tenue chaud quand les températures clémentes redescendraient. Elle en trouverait d'autre d'ici la...

Les odeurs multiples et variées tour à tour lui agressait le nez, ou enivrait ses sens. Si les mets odorant la faisait salivé sans pour autant la convaincre, d'autre étal la firent rapidement fuir. La jeune femme passa devant un homme; sur son étal s'étalaient de nombreux flacons multicolore. La jeune femme les regardait, intriguée par leur couleur tout comme leur forme. Le marchand, ayant repérer son intérêt pour sa marchandise, se mis à déblatérer, un tas de fadaise sans consistance, sur un ton bien plus élevé que celui de la conversation, des fois qu'elle n'entendrais pas...

"Approchez vous Mademoiselle, n'ayez pas peur! Mes parfums viennent de Sar'Hestsu, mais on les croirait tout droit venu d'Aramenel! Leur douce flagrance semble avoir été créer par les anges! Venez essayer donc!"

L'homme avait attraper un des flacons et sans la prévenir l'en aspergea. La jeune femme pesta fortement, et aurait ravager l'étal, si les enseignement des de Coombes ne lui étaient pas revenu en mémoire. Pour finir, elle attrapa une poignée d'herbe et de terre, et la frotté contre sa peau, essayant de faire partir cet odeur infecte. Qui pouvais s'asperger de cela? N'importe quelle bête devait vous repérer à des kilomètres... Elle comprenait mieux pourquoi les créatures de la forêt disparaissait en cette période de l'année...

Alors qu'elle était accroupie au milieu de la foule, une voix l'interpella.

"Eh toi!"

La jeune femme ignora d’abord l'appel, mais quand celui ci se réitéra, elle ne put s’empêcher de se retourner, interrogatrice.

"Oui toi! Rend moi ce que tu m'as pris ou je te jure que tu va prendre une rouste dont tu te souviendra!"

Elle resta un instant interdite. Ne comprenant pas de quoi il parlait, elle en déduit qu'il s'adressait à une autre. Elle se détourna alors pour reprendre sa route, mais une main se posa sur son épaule, tandis que l'autre plongeait dans sa besace. Elle se retourna vivement, le repoussant alors, mais il tenait dans ses mains l'une de ses fourrures

"Je suis le seule vendeur de fourrure du marché! Tu m'as voler, tu doit payer!"

La colère monta rapidement en Faryl. Qu'on se batte pour savoir qui obtiendrait quel bien, elle le comprenait; mais qu'on s'approprie ses biens, la traitant de voleuse, c'était hors de ce qu'elle pouvais admettre. Elle attrapa sa dague d'os à sa ceinture, serrant le manche qu'elle avait elle même recouvert de cuir.

"Rend moi ça immédiatement! J'ai tuer chacune des bêtes dont je possède la peau moi même! Ta peau serait de piètre qualité, mais si tu ne veux pas finir parmi celle que j'échangerait l'année prochaine, tu as intérêt à ôter tes sales pattes de MES affaires!"

L'éclat de voix avait perturber le cours normal du marché. Le brouhaha s'était amenuisé tandis que les regards se tournaient vers eux, avec quelques exclamations interrogatives. L'homme parti d'un rire bruyant. S'il n'avait jamais eut l'intention de se battre jusque la, la volonté de combattre de Faryl l'amusait: il la dépassait aisément de plus de deux tête, et n'avait absolument pas peur d'elle.

"T'as raison ma mignonne! Tu ferait mieux de rentrer chez toi..."

Faryl serra les dents. Elle s'approcha a pas lent. L'homme voyant qu'elle comptait réellement tenter de se battre donna la fourrure qu'il avait dans les mains à un de ses fils qui l'accompagnait. Il ne pris même pas la peine de sortir une arme, persuader qu'il pourrait la maîtrisé facilement. Alors qu'elle s'était déplacé jusque la avec lenteur, Faryl se fendit en avant, et vint planter sa dague dans le pied de l'homme qui, ne s'y attendant pas, se courba en deux. Arrachant la dague du pied, le pommeau de la dague vint percuter le menton du marchand, dont les dents s'entrechoquèrent.

Il poussa un cri d'exclamation, à la fois de douleur et de colère. Ne se laissant pas faire ainsi, il retourna à la jeune femme une baffe digne d'un ours. Son cou émit un léger craquement, et elle se retrouva au sol, un instant désorienté. L'homme s'approcha alors d'elle, son pied douloureux, et profita de son instant d'égarement pour saisir sa gorge.

Elle se retrouva alors suffocante. Il l'étranglait, et personne ne réagirait? Elle griffait les mains de l'homme tentant de se dégager. Elle le repoussait de ses pieds, lui donnant mainte et mainte coup, mais il ne semblait pas vouloir céder...

Je marchais de plus en plus vite vers la direction de l’émeute.Ma poitrine était écraser par la soif de sang et la violence qui émanait de cette endroit mais ma curiosité était plus fortes et j'arriva enfin a destination.Je ne pouvais pas le rater non plus,autour de deux silhouettes indistinctes un vaste cercle s’était former créant une sorte d’arène provisoires.Les marchands les plus proches,regardaient avec méfiance cette attroupement et certains rangeaient,par prudence,leurs marchandises.Des nains tournait telle des vautours autours d'un cadavre et proposer de parier. Décidément les Terres Franches se sont moralement bien dégrades.

Je voulus m'avancer mais les gens me donnait de grands coups d’épaules voir quelques coups de pieds ,ne voulant laisser leurs places a un morveux...Charmant...Apres plusieurs tentatives ratées,je laissa échapper un soupir d'agacement.Puis prit mon amulette dans ma main puis sentit les picotements habituels comme chaque fois que je me transformais en renard. Déjà les gens me regardaient autrement quand le leurs mordais juste au sang la jambe surtout quand une personne faisait la forte tête devant moi et refuser de me laisser passer. J’étais de mauvaises humeurs maintenant contre ce tas informe d’êtres passives.Mais au bout du compte j'arriva au premiers rangs et découvrit avec horreur le "spectacle".

Une femme fines et d'apparence plutôt fragiles était allonge par terre,ses cheveux auburn formait par terre une auréole autour de sa tête,un homme ou plutôt une sorte d'ours qui empestait le cuir et la peau animale était au dessus d'elle et un bras poilus couvert de cicatrices enserrait sa gorge.Le visage de la femme commençait a aller dans les violets et je voyais bien que elle allait mourir a ce train la et voyant la réaction du tas de légumes qui m'entourait je décida d'agir.

Telle un éclair,je bondis sur mes pattes et sauta a la gorge de l'homme,nous roulions tout les deux a terre dans une tornade de poil roux et bruns quand je sentis ma gorge remplit d'un liquide chaud.Je compris avec horreurs ce qui venait de se passer et recracha le liquide maudit de peur de devenir un de ces parias.L'homme profita de ce moment pour me sauter dessus et me tordre la patte ce qui me fit échapper un couinement de douleur hors je n’étais pas un renard ordinaire...Je me concentra,ferma les yeux,je sentais l’énergie de la terre sous moi et l'utilisa pour envoyer en l'air mon adversaire qui atterris a son malheur sur un pique d'une tente.Il laissa échapper un soupir avant de rendre l’âme.

Je repris forme humaine et montra bien au groupe ce qui les attendait si ils cherchaient la bagarre.Le message n'avait pas besoin d’être renvoie et le groupe disparut a la vitesse de la lumière tandis que les collègues de défunts vinrent le décrocher.Je me tourna ver la jeune femme et lui dit en souriant:

-Comment allez vous? J’espère que ce porc ne vous a pas blesser

**Non,il l'a juste voulu la tuer par suffocation, imbécile!**

**Je t'ai rien demander a toi**

Invité

Faryl se débattait avec rage, mais la poigne sur son cou était trop forte. Si dans un premier temps, la sensation de sa gorge écrasé était seulement douloureuse, cela devint bien plus inquiétant quand elle commença à apercevoir des étoiles dans son champ de vision. L'air ne parvenant plus à son cerveau, elle se sentais étourdie et ses mouvements commençaient a manquer de vigueur.

En son fort intérieur, elle se demandais ou étaient passé les esprits qui l'avait toujours défendu. Peut être avaient ils de bonnes raisons de se tenir à distance, mais en cet instant elle ne les voyait pas. Mourir pour une fourrure... Cela lui paraissait désormais très futile, même si elle était dans son bon droit.

Elle vit à peine la fusée rousse qui s'étaient propulser sur la poigne de fer. L'homme relâcha sa prise par surprise, et la gorge de Faryl se libéra enfin. Une inspiration, certainement la plus grande qu'elle n'ai jamais pris, lui brûla les poumons. Les larmes aux yeux, elle se redressa sur ses coude pour tousser et reprendre son souffle. Elle observa avec quelques difficultés la scène qui se déroula face à elle.

Une petite créature s'accrochait avec acharnement à la gorge du marchand, et Faryl eut la pensée ironique qu'en d'autre circonstance, cette bête aurait été traqué par le fourreur, ou bien par elle même pour sa belle fourrure. Ce qui se déroula ensuite la laissa bien plus perplexe, mélange d'admiration et d'effarement. L'homme avait réussit à attrapé la bête par l'une de ses pattes, provoquant un glapissement reconnaissable. Le déroulement des choses semblait alors abandonné toute raison, par un processus qui lui était inconnu, le marchand vola pour s'empaler sur une pique.

Encore sur le sol, Faryl regarda la scène avec crainte. Jamais il n'avait été dans son intention de tuer le marchand, bien-sur, elle se battait pour ses biens, mais elle estimais que le blesser aurait suffit... Elle regarda alors avec angoisse le "public" autour d'elle. Lui reprocherait-on sa mort? Le fils du fourreur s'était précipité sur la dépouille de son père, mais ce n'était pas lui qui attirait l'attention. Non loin d'elle, le renard pris forme humaine. Ses yeux se plissèrent.

Elle n'avait jamais rencontrer d'autre anima, et ne savait d’ailleurs pas ce que cela pouvais être, elle ne s'était jamais posé la question de sa capacité de transformation, elle était ainsi, cela ne s'expliquait pas, et toute les personnes qui auraient put avoir a transmettre ce savoir avaient disparut. Elle ne put pourtant s’empêcher de faire le lien entre elle et lui. Les choses lui paraissaient d'autant plus étrange qu'il lui semblait ressentir la présence d'être de la même nature de ceux qui l'entourait, autour de lui.

Le renard avait pris l’apparence d'un très jeune homme qui s'approcha d'elle, lui adressant quelques paroles avec un sourire. Faryl se releva prestement. Elle le jaugea un instant d'un regard méfiant. Son attention se porta successivement sur lui, son expression et le cadavre qui gisait dans son sillage.

Elle était effrayé, ou du moins méfiante à cause de ce sourire. Elle n'avait jamais éprouvé de satisfaction particulière a tuer, a part certainement celle de pouvoir se remplir la pense, ou de prévenir des difficultés futur... Il y avait toujours une finalité a son combat. Les combats a mort n'existent pas chez les loups, l'un des deux finit toujours par se soumettre, ou par fuir. Pas d'honneur a tuer, ou à être tuer.

"Vous... vous l'avez tuer!"

Sa voix s'était faite plus hésitante qu'elle ne l'aurait voulut. Bien-sur il l'avait protéger, même certainement sauver d'une probable mort, mais il avait dans le même temps réduit à néant l’existence d'une famille.

Faryl partie alors d'un pas vif dans la foule, prenant le temps de ramassé sa dague mais abandonnant derrière elle la fourrure pour laquelle elle s'était battue. Quittant la clairière, elle regagnait le couvert des arbres. Elle ne serait plus la bienvenue avant longtemps, mieux valait se faire oublier. L'homme renard avait dut être stupéfait de sa réaction. Depuis la frondaison, elle l'observait, tournant en rond dans une attitude très canine.

Il l'horrifiait, mais l'intriguait complètement. Elle ne savait si elle devait le craindre ou le remercier. Peu de temps après, une tête blanche fit son apparition entre les arbres. Faryl lui ordonna de se faire silencieux. Hati avait toujours été le moins indépendant des deux loups qui partageaient sa vie. Il vint placé sa tête contre la cuisse de Faryl, qui accroupie, la grattouilla légèrement, sans quitté le jeune homme du regard. Le pelage blanc du loup était facilement repérable dans l'ombre qu'offrait les arbres, mais dans l'agitation du marché, peu de personne leur prêtait attention.

Sa décision était prise... Elle devait parler à ce jeune homme. S'il s'en allait; elle le suivrait.

**Quelle ingrate!Elle aurai pu au moins nous remercier!**

**Me remercier,tu veut dire car a part me faire la morale,tu fais pas grand chose**

**Tssss,si tu savais**

Je détestais quand il faisait cela mais bon j'avais d'autres choses a faire que un brin de causette avec Nydrassil,j'examina avec curiosité la jeune femme.Maintenant que elle avait repris son souffle,je remarquais qu'elle portait des vêtements atypiques pour une humaine,il semblait être un mélange de vêtements animas et de reprises personnelles mais ce qui m'intriguait le plus c’était les marques violettes que on voyait sur ces épaules et son visage puis la vérité me vint en pleine face.Elle n'avait pas le visage des humains mais bien celui des Animas et ces marques violettes...Des signes chamaniques décidément je tombais toujours sur le gros lots.Je me demandais que faisait un shaman ici,normalement les chamans restent auprès de leurs clans pour les protéger enfin moi je suis bien le chaman d'aucun clans...

**Non tu est le mien,jeune renard**

Je laissa la remarque de coter et continua l'examen de la jeune femme,mon pouvoir d'empathie sentait en elle des sentiments contradictoires,je sentais de la colère,de l’incompréhension mais aussi de la curiosité.Elle semblait ne pas avoir trop de sympathie pour moi mais en même temps elle ne me fuyait pas,elle semblait attendre quelque chose...Quand elle me dit son incrédulité ou peut être sa colère devant le meurtre,cela dépend,je fut étonner et ne put m’empêcher de hausser les sourcils.Pour les renards,la mort est une solution parmi d'autres,l'honneur n'existe pas juste l’efficacité et le sens pratique defois je trouvais ce système révoltant mais en général je m'en fichais pas mal un code est souvent ennuyeux et contre la liberté ce que je ne pouvais supporter.

Elle se retourna et partit lentement vers la foret ou je la vis s’arrêter a la bordure de celle-ci.Je sentais une autre énergie presque comme un double de la sienne mais dont la présence m’échappait,je ne pouvait localiser cette énergie puis elle apparut sous une forme qui m’étonna.Un loup blanc majestueux s'approcha d'elle et posa sa tête contre sa cuisse blanche.Les questions fusaient dans ma tête,beaucoup de Animas ont un animal compagnie parfois plusieurs mais il était souvent l'animal totémique du clan or le clan du Loup avait dissous après la folie sanguinaires qui avait transformer ces membres en lycans...Mais avait'il tous disparus.Je sentais dans ma sacoche,brillait la Poussière et j'avais l'impression qu'elle secouait comme si elle était vivante enfin les pouvoirs de la Poussières n'ont pas encore tous été découverts mais je voyais bien que c’était pas le moment de l'utiliser.

Je m'assit par terre et la regarda ,a cette distance le loup peut facilement me tuer en moins d'une minute.Je sortis ma dague et commença a jouer avec ,puis je la regarda droit dans les yeux :

-Sans vouloir te vexer,quelques chose me dérange de quelle clan est-tu?Moi je suis Handoar maître shaman du clan du Renard comme tu a du le voir et toi comment t'appelle tu?

Invité

En fin de compte Faryl n'eut pas à le suivre. L'homme renard ne l'avait pas quitté des yeux alors qu'elle s'était mise à l'abris des regards. Il avait l'air à la fois consterner et interrogateur. Et avait finit par s'éloigné à son tour de la cohue, pour s'approcher d'elle.
Elle n'eut pas de réaction de fuite, de fait, elle l'attendais, même si elle n'était toujours pas sur que cela soit une bonne chose.
Quand il s'approcha, elle resserra légèrement la prise de sa main dans les poils d'Hati qui grogna légèrement. L'homme lui était inconnu, et les sentiments de Faryl à son égard indéfini, il était donc potentiellement inamicale. Faryl fit taire ce grognement de dissuasion d'un claquement de langue.

Le Renard s'était assis sur le sol face à elle. Il avait sortie sa dague et semblait joué avec, mais tout comme Hati, ce geste n'était qu'une manœuvre de dissuasion. Il les prévenait ainsi qu'il était prêt a se défendre. Faryl elle restait accroupie, ainsi ils étaient à peu près à la même hauteur, mais elle était camper sur ses jambes si pour une raison ou une autre elle devait détaler... ou bondir.

Il parla, elle ne répondit immédiatement. Elle glissa sa main dans sa besace, et le loup se redressa immédiatement, sans pour autant montrer d'attitude agressive; il attendais quelque chose. Quand sa main en ressortie, elle tenait une longue lanière de viande sécher. Elle en glissa un côté entre ses dents, et en arracha un morceau, qu'elle se mit alors a mastiqué, tout en donnant l'autre morceau au loup, visiblement ravi. Il se coucha à ses pieds, son butin entre les pattes.

"Tu es étrange... Tu parle bien et pourtant je ne comprend pas ce que tu dit."

Mastiqué lui permettait de réfléchir, ou du moins, de se donner le temps de réfléchir. Un maître Shaman? Un clan du renard? Il y avait la une logique certaine avec sa transformation, mais ses connaissances limités de sa propre race ne lui permettait pas d'avoir le recul nécessaire.

"Tu sais qu'on va te chercher pour ce que tu as fais? Et moi aussi par la même occasion..."

Elle regardait derrière lui, plus loin, dans le marché quelques hommes s'étaient regroupé, et parlaient a voix basse, tout en jetant des coups d'oeuil dans leur direction.

"Ils ont trop peur pour faire quoi que ce soit... Mais ils attendrons la nuit, quand nous aurons baissé la garde."

Il lui avait demandé de quel clan elle était. Après l'avoir entendu se présenté comme appartenant à celui du Renard, elle avait naturellement envi de parler de celui du loup, c'était ce qui lui semblait le plus logique. Mais le mot clan impliquait une notion de nombre. Hors à ce sens, elle ne faisait parti d'aucun clan.

"On m'appel Faryl. Je vit avec les de Coombe, bien plus au sud d'ici."

Je regardais avec intensité maintenant le loup qui mangeait tranquillement le morceau de viande qu'elle venait de lui donner. J’étais en même temps fascine et intrigue par le lien qui les reliaient.Je les enviais un peu,moi Anima comme certains autres membres de mon espèces n'avaient pas d'animaux qui les accompagnaient au fil de leurs vies.J'ai rater ma chance il y a longtemps mais je n'avais pas trop envie d'en parler avec Faryl pour l'instant.

Je réfléchissait aux paroles qu'elle me disait,elle semblait peser chaque mots qu'elle allait dire,elle avait la prudence du loup mais c’était stupide,vu qu'elle ne semblait pas être un lycan,je sortis de mon sac,un lapin mort que j'avais chasser il y a peu en cas ou je ne trouverais rien a me mettre sur la dent au marche et le lança vers le loup,avant de sortir un gâteau qui me restait.

Je dégusta lentement la sucrerie,sentant chaque billes de miels givres éclates dans ma bouche sec et poussiéreuses et savoura en silence la poudre amer du cacao qui saupoudrait le tout.Aux paroles de Faryl,je me retourna pour jeter un coup d'oeil vers le groupe d'hommes qui marmonnait a voix basse,tout en jetant des regards assassins de notre cote,je sentais des émotions de haines et rages qui bouillonnaient en eux et qui réclamaient vengeances mais la peur était plus forte et imprégnés chaque fibres de leurs êtres.

-Oui,normalement on risquerait des ennuis mais ils ne feraient jamais en territoires elfiques la nuit,enfin d’après ce que je sais,les humains ont les sangs chauds mais pas assez pour enfreindre les lois elfiques,si ils savaient que les elfes ont d'autres soucis que jouaient les juges,on serait déjà pendu...

Je me sentais légèrement mal a l'aise sous les yeux inquisiteurs de Faryl,elle avait de m'examiner sous les moindres détails et je ne supportais cette sensations d'animal prêt a bondir ou s'enfuir,j'avais l'habitude de cette attitude mais jamais quand c’était moi qui était en face.

Je réfléchis quand elle me dit qu'elle vivait avec les de Coombe....De Coombe... Déjà a la sonorité,on voyait bien que c’était un nom elfique mais que faisait t'elle chez des elfes.Les questions se bousculaient dans ma tête et l'odeur acide de la Poussière ne m'aidait pas a m’éclaircir l'esprit.J'essaya en vain de le tourner pour éviter que Faryl ou d'autres personnes le sentent.

Mais je résolus a en savoir plus sur elle même et sur sa forme animale,soit elle vivait bien avec des loups mais j'avais bien vu un Lynx avoir un paon comme animal de compagnie!Je la regarda dans les yeux et lui dis:

-D’après tes tatouages je vois bien que tu a des pouvoirs chamaniques et que tu peut parlait avec es esprit mais quelle est ta forme animale ?J'ai pense savoir mais bon...

**Tu veut vraiment qu'elle te fasse un dessin a la fin? crétin!**

**Merci du soutien Nydrassil**

Invité

Le loup semblait accaparé l'attention du jeune homme, elle en était pour l'instant satisfaite, cela lui permettait de continuer à le détaillé sans gène... Bien qu'elle n'en aurait sans doute pas éprouvé plus quand bien même elle aurait sut que cela le dérangeait.
Le loup grogna de plaisir quand la providence lui offrit soudain un lapin bien dodu. Faryl eut une moue plus mitigé, l'homme savait comment s'attiré la sympathie d'Hati. Déchirant la peau, puis les muscles, les poils blancs de la bête se teintèrent peu à peu de rouge.

Le renard ne craignait manifestement pas la vengeance des hommes, elle le trouvais bien imprudent. Le coeur ignore les lois, et il avait tué un père. Si les compagnons de route se laisseraient facilement découragé par la peur, le fils lui, se vengerait, quoi qu'il lui en coûte, d'autant plus que le marchand était simplement un homme honnête, qui croyait avoir été volé. Ce n'était pas une terreur, ni un tyran.

Il souhaitait ignoré la menace? Cela ne la regardait pas. Elle n'était pas en danger pour le moment, mais pour sa part, elle ne dormirait pas tranquille avant plusieurs nuits...

Il la fixait alors avec intensité et ce fut à son tour d'être légèrement mal à l'aise. Il cherchait des réponses qu'elle n'avais pas envi de lui donner. Et sans qu'elle ne lui ai rien appris, il savait déjà trop de chose. Comment pouvait-il savoir qu'elle était capable de se transformer? Elle l'avait vu faire, mais il n'avait pas été de même dans le sens inverse. Elle serra les dents un instant.

Faryl glissa ses doigts sur la joue, le long d'une des marques présentes sur son visage. Elle ne se souvenait pas les avoir tatoué, ni même depuis quand elle étaient apparut. C'était un peu comme les sentiments, présent sans qu'on puisse se souvenir du moment exact ou ils sont apparut, alors qu'on se souvient pourtant des moments ou ils n'existaient pas. Ces marques n'existaient pas avant "l'incident", c'était tout ce qu'elle était en mesure d'affirmer. Elle n'avait jamais sut ce qu'elles pouvaient signifié, mais lui avait l'air de savoir, et ce n'était pas incohérent avec ce qu'elle vivait, et avec ce qu'elle avait vécu...

"Je parle pour eux depuis longtemps... toi aussi je crois."

La présence qui rodait autour de lui ne s'était pas approché d'elle. Il devait exister un lien particulièrement fort entre eux.

"D'ou viens tu... Handoar. Je n'en ai jamais vu de comme toi ici."

Un peu plus loin dans les arbres, une forme sombre se faisait discrète, attiré par le festin dont profitait son frère, mais néanmoins toujours bien plus méfiante que lui. Skoell observait de ses yeux jaunes la scène sans osé s'approcher.

Je ferma les yeux une seconde...Les bruits lointains de la ville avaient l'air de répondre a ceux des marchands qui commençaient a fermer leurs étals pour la nuit, déjà certaines parties du marches se vidaient pendant que la zone des restaurateurs commençaient a devenir importante.Des elfes commencèrent a allumer des lampions a chaque croisements et bientôt la clairière baigna dans une lumière diffuse et douces.Des lucioles brillaient faiblement autour de nous et je ne pouvait résister a un instinct enfantin et en attrapa une.Seul elle semblait brillait que faiblement et au bout de quelques minutes, je la relâcha rejoindre ces congénères...

Faryl,avait l'air de douter sur le respect des lois du fils du tanneur,et prit d'un doute,j'examina les alentours pour me rassurer et voir si il ne préparait pas quelques chose.Je ne le vis point,il devait soit préparer un mauvais coup soit pleurer dans sa tête.Normalement j'aurais eu pitié de lui mais quand je me rappela le visage de haine et de plaisirs sanguinaires qu'avait ces hommes qui avaient violer et tuer des Animas devant mes yeux impuissants,il y a cinq ans .Mes yeux prirent un éclats froids et déterminé...Et mes pensées obscures, traîtres et mélancoliques revinrent a moi.

Mais je ne resta que peu de temps dans cet état d'esprit...Entendant un bruissement dans les alentours,je me mis sur ma garde et inspectant les bois sombres derrières Faryl et me rassura quand je vis des yeux dores me regardait avec méfiance...un loup celui-ci avait l'air plus sauvage et méfiant que son frère de meute.

Je souris légèrement,je lui aurait donner volontiers un autres quartiers de viande mais je l'avais déjà vendu il y a deux heures pour agrandir la place de la Poussière dans mon sac...

Elle sembla indécise,touchant ses tatouages d'une manière pensives,peut être ne savait-elle pas comment elle avait eu ce don.Moi,j'avais vécu tout ma vie en sachant que j'avais un don chamanique,j'avais vécu dans cette ambiance onirique et naturel depuis ma naissance et j'avais du mal a savoir ce qu'elle pouvait ressentir en ce moment...

-Moi?Je viens des terres plus au nord et mes...ou plutôt nos frères n'ont pas trop l'habitude de se déplacer vers les terres elfiques,raisons d'habitude je pense...Sinon je n'ai pas trop de terre d'attache,juste un lieu de naissance,c'est tout enfin bon...Cette existence d'errance me plait...

**Ce n'est pas qu'elle te plait...cette existence t'est destine,c'est ton destin mon petit...**

**Comment ça**

**Tais-toi et regarde a ta gauche,sa sent le roussi**

Suivant instinctivement les ordres de Nydrassil,je me retourna et constata que le fils du tanneur était de retour et plus déterminé que jamais,cependant il avait une lueur dans les yeux que je n'avais jamais chez un humain et une sorte d'aura de putréfaction tournait autour de lui,il semblait seul mais en même temps on aurait dit que des dizaines de fidèles le suivait...

**Un nécromant...enfin d'un cote sa m’étonne pas c'est souvent dans les lieux de tannages que les nécromants trouvent les ingrédients a leurs sombres sorts**

**Et sont simple a combattre?**

**Si battre un homme qui peut invoquer des cadavres est simple pour toi ...bonne chance en tout cas je vais essayer un truc mais bon sa va prendre un peu de temps **

Je soupira profondément,pourquoi je m'attire toujours des ennuis?j'aurais pas pu tomber sur un humains timides et couardes comme les autres?De prés je voyais bien les veines noirs qui ressortait sur sa peau de cadavre,je me tourna vers Faryl,lui expliqua ce que m'avait dit Nydrassil sans lui dire d'ou me venait mes informations et luit dit:

-Hum...Une idée?

Invité

Le jeune homme lui semblait simple, non pas dans le mauvais sens, mais il possédait cette satisfaction d'une vie dénué de possession qui ne pouvais satisfaire que les gens détacher de la volonté de tout posséder, comme lui... comme elle.
Il n'avait pas peur, ni quand Hati était arrivé, ni quand ce fut au tour de Skoell, ayant pourtant un comportement plus agressif, de se montrer. Il baignait dans ce milieu depuis longtemps et ce comportement détaché, proche des esprits tout comme elle l'incitait à la confiance.

Il disais venir du nord, et sa façon de décrire les choses l'incluait parmi ceux qu'il appelais ses frères. Pensive, Faryl releva la tête vers la lune dont les rayons parvenaient à traversé la couche de feuillage. Le jeune homme avait l'air si sur qu'elle était comme lui, et pourtant il la rencontrait pour la première fois, il devait savoir des choses qu'elle ignorait, c'était indéniable.

" Tu parle des tie... des nôtres, comme s'ils étaient nombreux. Je n'en ai jamais vu d'autre que moi... appart toi bien-sur. Je doit te paraître méfiante... Je le suis certainement, mais tu sais des choses que j'ignore... Raconte moi... Tu erre, mais pourquoi ici?"

Handoar lui parut absent un instant. A ce même moment, la tête de Hati se releva, sur le qui-vive. Un grognement sourd monta du fond de sa gorge. Pas besoin d'être sorcier pour le comprendre; il y avait danger.
Handoar tourna la tête sur la gauche, et Faryl en fit de même. La jeune femme se redressa d'un bond, comme si quelque chose l'avait piquer. Si elle n'était pas à même de déterminé l'aura de cet homme comme le faisait Handoar, le frisson qui l'avait parcouru lorsqu'elle l'avait fixer lui avait suffit.

Le jeune homme lui fit part de ses conclusions. Elle en fut légèrement intrigué, s'il était capable de déterminé d'un seul regard quelle était la nature d'une personne, cela lui expliquait pourquoi il était persuader qu'elle était de sa race, mais lui murmurait également qu'il lui restait beaucoup a apprendre. Il lui demanda son avis, elle se raccroupie un instant. L'homme mettrait un petit temps à les rejoindre.

"Nous pourrions disparaître tout simplement... Je connait ces bois mieux que personne... Ou en tout cas, mieux que la plupart. Il ne pourrait pas nous suivre. Tu es petit, agile... toi tu n'aura pas de mal a me suivre."

Elle parlais bien entendu de sa forme animale. Sous sa forme humaine, il aurait du mal à suivre sa course de louve. Un coup d'oeuil sur la gauche, le nécromant se rapprochait.

"Mais je n'oublie pas que tu m'as sauver la vie. Si tu souhaite combattre, je serait la."

Si Skoell restait toujours en retrait, Hati, campé sur ses pattes avait le poil en parti hérissé, alors qu'il grognait de plus belle, tout crocs dehors. Faryl l'avait attrapé par la peau autour de son cou pour le retenir.

"Qu'est-ce que tu décide?"

Faryl était prête. Il ne lui faudrait que quelques secondes pour réagir à sa décision. Attaquer, ou s'échapper. Si acceptait de fuir, elle se lancerait dans la forêt avant de se transformer en espérant que le renard parvienne à la suivre.

Mes yeux étaient en perpétuel mouvement, faisaient chaque le trajet Faryl-Nécromant.Je le voyais qui approchais et qui nous regardait avec des yeux de déments,les yeux d'un mort....Une frisson parcourra ma peau et au bout de quelques minutes,je pus enfin me détacher de ce gouffre de mort.Je me leva et regarda encore une fois Faryl et les deux loups qui jetaient des regards menaçants vers la silhouette puis je lui dit dans un souffle:

-De courir!

Puis dans un geste rapide,j'empoigna mon totem,le contact chaud du bois vivants me rassura un peu mais je n'avais pas le temps de réfléchir et je me trouva rapidement sous forme de renard a quatre pattes,telle un éclair roux a courir entre les arbres millénaires,je ne pensait,je vivais l'instant présent...

Parfois je voyais a travers les silhouettes sombres des arbres,des loups argentes me dépassaient,ils étaient au nombres de trois mais avec la peu de lumière je ne distinguais pas lequel était Faryl.Nous arrivâmes dans une clairière qui baignait dans le clair de lune,un arbre mort était étendu sur toute sa longueur et coupais la le cercle en deux,cassant l'harmonie parfaite de ce lieu mais rajoute une sorte d’atmosphère presque sacrées telle un autel de la nature attendant son sacrifice quotidien.

Je mis fin a mes pensées pour reprend forme humaine et reprendre calmement ma respiration sur l'arbre.Au début je n'osais monter dessus de peur de casser un équilibre mais au bout de quelques minutes mon corps me signala que j'avais besoins de me reposer.Je monta donc dessus ,reprenant de longues bouffées d'air frais que j'avalais avec plaisir.L'air était pur et seuls les bruits lointains de la foret répondait aux bruits de ma respiration,je dégusta ce moment de paix avant de me tourner vers la meute de loups.

Je ferma les yeux et réfléchit bien aux paroles que m'avait dit Faryl avant de quitter le marche,je la regarda et dit :

-Pourquoi je erre? Bonne question,peut être j'aurais du épouser une Anima et lui faire des enfants dans un ou deux ans mais mon destin était ailleurs que cette vie monotone et morne,je veut changer les choses tu comprend?Je sais pas si tu sais mais notre peuple a été longtemps persécute par les humains et garde de profondes séquelles,je veut guérir ces blessures et je sais que c'est pas en restant les bras croises que je vais réussir a faire bouger quelques choses et si j’étais venue ici .... c’était pour cela...la Poussière...un des plus puissants catalyseurs magiques....

Et pour appuyer ces mots j'ouvris mon sacs pour lui montraient la poudre argentes,brillant de plus belle au clair de lune.

Invité

[Pardonne moi pour le temps de réponse, je ne t'avais pas oublié, mais j'avais des choses a régler par rapport a mes cours, tout ca...]

Elle guettait le moindre de ses souffles. L’excitation montait dans ses veines tout comme l'adrénaline qui lui permettrait d'amélioré ses performances. Elle avait ses yeux plongé dans les siens, accroupie sur ses jambes, comme sur des ressorts. Quand il lança le mot qu'elle attendais, elle tira d'un coup sec sur la fourrure d'Hati et poussa un hurlement guttural qui le poussa à s'échappé également. Bondissant sur ses pieds, elle se mit alors à courir.

Elle passa quelques arbres avant de se transformer à son tour. Elle avait sous estimé la vitesse d'Handoar, il était parti bille en tête, et elle ne pourrait pas le conduire la ou elle les estimerait en sécurité. Un grognement de contrariété s'échappa de sa gorge. Elle étais obligé de le suivre, même si sa petite taille ne l'y aidait pas réellement. Dans leur course folle, ils furent bientôt rejoint par Skoell, dont la robe noire se fondait dans les ombres.

Plus la course avançait, et plus leur destination se précisait dans l'esprit de la jeune femme, et quand Handoar déboula dans la clairière, Faryl s'arrêta net à l'orrée. Elle hésita un instant avant de s'avancer sous le clair de lune, sur le qui-vive. Ses compagnons ne semblaient pas non plus ressentir la présence du nécromancien.

Elle se coucha dans la clairière, alors que le renard avais repris forme humaine. Ses flancs se soulevaient rapidement tandis qu'elle reprenait son souffle. Elle ne voulais pas souillé ce lieu chargé d'histoire et de magie de sa présence humaine. Hati étaient monté sur le tronc, rejoignant Handoar, dans l'espoir certain de le voir sortir un autre lapin de sa besace, il l'aurait d’ailleurs fouillé si un nouveau grognement de Faryl ne l'avais pas retenu.

Soudain, troublant le relatif calme de cette clairière, un forme sombre se jeta sur Faryl. Les deux louves se mesurèrent dans ce qui semblait être un combat féroce. Il y avait avec Skoell un rapport dominant-dominé qui n’existait pas avec Hati, du fait de son sexe masculin. Mais Skoell tentait toujours de remettre en cause l'autorité de Faryl. Elle ne pouvais la laissez faire, au risque que la louve noir prenne l'ascendant sur elle, même lorsqu'elle serait en forme humaine.
Morsure, coup de pattes furent échanger, puis quand Faryl fut au dessus, elle en profita pour redevenir humaine, elle enserra alors la gueule de Skoell dans ses mains, tout en la maintenant au sol avec son poids, ignorant les coups de pattes que la louve lui donnait.

"Ça suffit maintenant!"

Dernières tentatives désespérer, puis la louve lâcha prise. Elle resta sur le dos quand Faryl la relâcha, queue entre les jambes. Faryl ramassa son poing et donna un coup sur le coté du museau de la louve. Pas assez fort pour lui faire mal, mais suffisamment pour lui rappeler qui commandait. La louve se releva et s'éloigna légèrement, quand elle tenta de redresser la queue, un peu tôt au gout de Faryl, celle ci prononca le nom de la louve sur un ton menaçant, et prise en faute, la louve replaqua sa queue entre ses pattes.

La jeune femme soupira avant de s'approcher de l'arbre. Quelques rejets partaient du tronc, signe qu'il n'était pas tout a fait mort. Sans grimper dessus, elle attrapa Hati et le força à descendre du tronc.

"On raconte beaucoup de chose sur cet endroit... On parle d'une femme aux grands pouvoir, qui part amour pour la nature se serait changer en arbre, afin de pouvoir veillé sur ses protégés pendant des siècles, sans craindre la mort. On dit qu'elle était si grande et si majestueuse, son esprit pouvais se répandre dans tout les arbres dont les racines se croisaient, et qu'elle pouvais ainsi, parcourir tout ce monde qu'elle aimait tant... On dit que quand le mal est venu, elle s'est férocement défendu, broyant de ses racines les corps frêles de ses ennemis, et qu'afin de protéger cette nature, elle s'est sacrifié. C'est alors que son tronc s'est brisé..."

Faryl se tue un instant, et posa ses paumes sur le tronc, avant d'y coller son oreille les yeux fermer.

"Je crois qu'elle est toujours la, simplement trop faible pour se rappelez a nous... Son tronc n'est pas mort, et même la nature autour n'as pas osé reprendre ses droits autours de lui. Elle lui laisse le soleil pour croître, la pluie et la terre pour se nourrir."

Elle le fixa, espérant qu'après ce qu'elle venait de lui dire, il descendrait du tronc.

"Je connait cet endroit, et pourtant, j'ai toujours un mal fou à y revenir. Il fallait vraiment le hasard pour tombé dessus du premier coup... Mais il ne faudrait pas que nous guidions le mal jusqu'ici..."

Elle tourna alors son regard vers la forêt, tout semblait calme, mais dans la nuit, il était difficile de voir se profilé les ombres. Elle observait comme si de nul part pouvais jaillir cet ennemis.

Terre,Air,Eau...Les trois éléments paraissait se confondre et se mélangeait dans ce lieu sacré.Je referma les yeux pour sentir de nouveau le calme de cette endroit.Je sentais une présence qui rodait dans cette clairière qui semblait être l'esprit même de cette clairière mais je n'arrivait pas a savoir de quelle directions provenait ce chant mystique,cette appel primitif de la nature qui rappelait a elle ces enfants.

Mais une odeur forte de puissance et de force tranquille vint a ma narine et je sentis une pression sur ma sacoche,instinctivement je me retourna vers cette la source de la perturbation et je me rassura quand je vis que ce n'était qu'un loup qui accompagnait Faryl qui me regardait avec ces yeux d'or et semblait attendre quelques choses.Je ne pus réprimer un sourire quand je compris que il voulait encore a manger.Je sortis un morceau de viande séchés que je lui tendis mais il ne jeta même pas un regard dessus et descendit,décidément les loups sont difficiles.....

Mais je fut arrêter dans mes pensées quand je vis les deux loups se jeter l'un contre l'autre dans un combat acharnés sous l'oeil tranquille qui les regardait comme si cela était habituels.J'allais intervenir quand je reçus un ordre mentale de Nydrassil m'interdisant de intervenir.Vexes de ne pas pouvoir être le maître de mon corps je regarda sous mes yeux impuissants le combats des maîtres de la nuit.Mais rapidement une des deux louves prit l'avantage et instinctivement je sus que c'était Faryl,mes soupçons furent fondés quand je vis Faryl reprendre forme humaine et dominer rapidement l'autre louve.Apres un échanges de sons sauvages et de grognements,Faryl vint de mon cotés et me jeta un regard que je ne pouvait expliquer.

Quand elle m'apprit que j’étais sur un des principaux esprits sylvestres de la forets,je ne pus que exprimer de la surprise,tout d'abord j'étais étonné par la connaissance de Faryl sur ces lieux enfin après tout elle avait bien vécu dans la foret depuis des années mais surtout c'est que je ne ressentais pas la présence de l'esprit,bien sur je sentais un forme floue qui vivait dans cette endroit mais je compris enfin ce que je sentais c’était l'esprit mais je fus perplexe.Normalement je l'aurais sentis,c'est dans le caractère principale du shaman de savoir parler avec TOUT les esprits et non pas que avec un....

Je sentis un soupir derrières ma nuque et me retourna pour voir avec surprise Nydrassil....Je ne l'avais jamais vu hormis sous sa forme d'arbre et le voir sous une forme presque humaine nous allons dire me surpris je jeta un regard vers Faryl,ne devinant pas sa réaction mais je me retourna rapidement vers mon coéquipier spirituel mais aussi mon mentor.Et je ne pus que le regarder et l'examiner sous les moindres détails.

Il avait un air de famille avec moi mais sa peau avait les motifs de l’écorce et sa chevelures était composes de feuilles de vignes et d'érables.Des étincelles verts émeraudes brillait d'une lueur froide dans ces pupilles et je ne pouvait me détacher de ces lumières pendant quelques minutes.Il portait le costume verts sombre des grands mages elfes et une dague d'émeraude brillait sur son flanc.Il ouvrit sa bouche de cèdre pour me dire ces mots qui restèrent graver a jamais dans ma mémoire.

-Handoar,si je suis ici devant toi sous les yeux des autres Shamans ici présent,il jeta un regard a Faryl,c'est pour t'expliquer que le nécromant qui vous poursuit n'est pas un simple nécromant je ne peut pas vous en dire plus mais sur la vie de vous deux Shamans, il a eu une influence indirect sur les évènements de votre enfance ou de vos dernières années, réfléchissait bien a ces paroles quand vous le combattrais,sinon Handoar si tu ne sens pas l'esprit de cette clairière c'est que tu m'appartiens et que dans notre communion,tu a perdu la plus grande partie de tes pouvoirs de perceptions spirituels contre une plus grand puissance,et oui il y a des inconvénients comme on me sert jeune Anima mais peut être un jour cette jeune shaman prometteuse connaîtra la même situation que toi seul l'avenir nous le dira...Adieu Noble dame De Coombe,et Handoar TU m'appartiens ne l'oublie pas!

-Mais Nydras....

Mais avant que j'eu fini ma phrase,il s’était évaporer et mes messages mentaux n'avaient aucunes réponses et je me retourna vers Faryl quand je sentis un froid glacial m'envahir jusqu’à la moelle...Le froid de la mort.....J'entendis un loup hurler a la mort et me tourna vers les bois qui nous entourait et d'ou sortait une brume menaçante,mais qu'importe j'étais prêt et je me jeta la dague au point sur la silhouette entouré de brume....

[HRP: Pas grave Faryl je comprend que tu ai eu d'autres choses a faire :)]

Invité

Il eut l'air surprit quand elle lui parla de cet femme, de cet esprit. N'avait il pas senti sa présence? Après tout, elle même en avait des difficultés, comme elle l'avait dit, l'esprit était particulièrement faible et dispersé, et le fait de savoir qu'il existait devait clairement l'aider à ressentir sa présence. Ayant passé toute sa vie ici, sans jamais rencontrer d'autre comme elle, elle ne s'étais jamais posé la question de savoir si elles pouvais percevoir tout les esprits, même les non sylvestre.

Son regard se perdit encore un instant vers la forêt, quelque chose lui déplaisait. Si le nécromancien parvenait à ce lieu, il ne suffirait pas de sauver leur propre vie. De nombreuses choses tournaient dans sa tête, aussi bien ce fait, que les mots d'Handoar. Il parlait de persécution des leurs, mais elle ne voyait pas en quoi la poussière qu'il l'avait acheter l'aiderait. Elle avait du mal a se considéré comme faisant parti des siens, et pourtant, elle s'en sentait plus proche que des elfes.

Quand elle se retourna, elle eut la surprise de découvrir un autre être à côté d'Handoar. Elle n'eut pas de mouvement de recul, aucune peur. Elle était surprise, mais elle ne faisait que voir quelque chose qu'elle sentait depuis longtemps déjà. Elle resta un instant interdite à l'observer, puis s'inclina devant lui. Sans savoir pourquoi, elle ressentait quelque chose de noble et de puissant chez cet esprit. Les deux loups l'observait avec curiosité.

Sa voix semblait venir d’ailleurs, elle ne ressemblait à aucune autre, comme le bruissement du vent dans les feuilles des arbres. Elle fronça les sourcils en l'entendant. Dès cet instant, elle se retourna vers la forêt, sur ses gardes. Devant son attitude les loups se redressèrent. Elle tournait sur elle même, mais ses yeux ne parvenait à distingué quoique ce soit dans les arbres.

L'esprit avait disparut avant que quoi que ce soit n'apparaisse. Elle jeta un oeuil à Handoar.

"Qu'as t'il voulut dire?"

Le hurlement de Skoell lui fit regretter d'avoir quitté des yeux la forêt, un froid mordant s’abattit sur eux si bien que leur souffle devenait vapeur. Cette brume qui se rependait sur le sol en sortant des bois ne lui disait rien qui vaille. Si l'un d'entre eux s'y perdait, il serait sans doute impossible aux autres de pouvoir lui venir en aide ou le retrouvé.

Une silhouette se détachait dans cette brume, et Handoar était prêt à s'élancer sur elle.

"Attend!"

Quelques secondes... Une nouvelle silhouette, puis deux et enfin une demi douzaine... S'il n'était pas stupide, le nécromancien ne se trouverait parmi celles ci. Les loups grognait de plus belle, avançait légèrement avant de reculer dans une tentative d'intimidation infructueuse. Faryl grimpa à son tour sur le tronc, tant pis pour le respect envers l'esprit, si le nécromant venait à bout d'eux, il s'en prendrait sans nul doute à l'esprit par la suite, pour l'heure, le tronc leur offrait une position avantageuse de hauteur.

Sortant peu à peu de brume, l’aspect décharné des silhouettes s'offra alors à leur regard, suivit de prêt par l'odeur de décomposition de la chaire humaine. Faryl eut un air de dégoût. A la fois face aux cadavres, mais aussi face à la servitude qu'on leur imposait. A cause du nécromancien, ces personnes ne trouveraient jamais le repos, même dans la mort...

Faryl arracha son couteau à sa ceinture et le lança sur l'un des cadavres ambulant. Elle le toucha en pleine poitrine, le corps s'arrêta un instant, sous l'impact, avant de se remettra à avancer. Elle serra les dents. Il n'y avait pas de vie dans ces corps, pas de blessure qui pourrait les affaiblir... Le seul moyen de s'en débarrasser serait sans nul doute de les démembrer, ou encore de les faire brûler...

Elle posa son regard sur Handoar, qui devait sans nul doute être parvenu à la même conclusion qu'elle, puis se changea en loup, grognant comme ses comparses, et prête à se jeter dans la mêlé.

Je regardais petit a petit les ombres qui nous entouraient,je sentaient une pression froide comprimait mes poumons et de la buée se formait a chaque respirations.Les ombres prenaient consistance au fil de l'adaptation de mes yeux a ce brouillards de cauchemars .Et quand je vis que ce n’était pas que le nécromancien qui se tenait de devants mais des hommes et des elfes ,et sans doute d'autres races que je ne pouvais reconnaître tellement leurs corps était dans un état de décomposition avance,entre la vie et la mort.

*Des zombies...Il ne manque que deux ou trois succubes et le Diable en personne et c'est bon le banquet peut commencer*

Je n'avais jamais vu de zombies de mes propres yeux et vu l'odeur qui dégageait de leurs chairs nauséabondes j'aurait put très bien m'en passer.Je vis un éclair argentes dépassait mon épaule gauche pour se planter dans la poitrine du zombie le plus proche,celui lança a terre la lame de couteau et continua d'avance d'un air obstine ,je me retourna et sentis le regard de Faryl me montrant que la méthode boucherie serait la meilleur contre les zombies.

Je prit mon amulette dans ma main et sentit mes cellules se changeaient et je me trouva prés a déchiqueter du morts-vivants.Je vis Faryl et ces deux compagnons lupins me dépassaient et je ne fit pas l'original et partis a l'attaque avec les autres loups.

Je choisis pour cible un nain zombie même si je me demandais ce que faisait un nain zombie dans une foret elfique enfin bon les questions ethniques viendront plus tard.Je me jeta sur lui,le renversant sous le coup lui arrachant les bras et une jambe.Je sentis un liquide noire envahir ma gueule mais je ne fis pas le difficile pour une fois et attaqua une autre cible.

Le temps en ce moment était une valeur futile,j'arrachais les membres,tranchais par mes crocs les veines pourris de mes ennemis et je fis mes partenaires faire de même de leurs cotes.

Quand je releva la tête,je vis qu'il ne restait plus de zombies dans la zone hormis un bras ou deux qui rampait mollement dans une lenteur d'agonie car sans flux magique ils redeviennent de simples cadavres...

Je reprit forme humaine,sortis ma gourde de mon sac pour me rinçait la bouche,un filet de sang noir sortait de chaque commissures des lèvres et je ferais même peur a une wyrm dans l’état ou j’étais...Je souris vers Faryl quand je sentis le froid redevenir plus intense et je vis apparaître le nécromancien sur le cote,si il se montrait en personne il ne devais pas être trop content,le sourire ironique qu'il avait aux lèvres m’exaspéra:

-Qu'est ce que vous nous voulez a la fin !?Vous allez pas nous faire croire que vous faites cela par vengeance je suis sur que cela vous arrange même!

Il ricana doucement avant de dire avec une voix d’Outre-tombe:

-Non,cette homme voulait même me dénoncer au conseil des mages, l’imbécile!Non c'est juste que cela fait maintenant plusieurs années que je rechercher des chamans qui voudrait me servir de grès ou de force,voyons Handoar...oui cela t’étonne que je connaisse ton nom mais d’après toi comment est mort ton maître?

Une haine sourde muette battaient a mes tympans,je voulais me jeter sur lui,lui déchirer les entrailles pour les paroles empoisonne qu'il me disait mais je ne pouvait bouger,mes membres étaient aussi solide que le marbre,je voulu jeter un regard sur Faryl mais même cela je ne pouvais pas.Je ne pouvais que regarder le necromancien avec des yeux qui voulaient tout dire.Mais cela avait l'air de le satisfaire au contraire puis il se tourna vers Faryl....

[HRP:Et encore desole pour le temps :/]

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