Instinct vindicatif [PV Ash'ir ] (fermé)

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Atroce ! Voilà le terme parfait pour décrire ma situation actuelle. Recroquevillé au pied d’une des nombreuses montagnes de la région, je me retenais de hurler à la mort. Cette douleur était tout simplement insoutenable, jamais je n’avais connu une telle géhenne. Et malgré ça, je décidais de marcher le long des montagnes. Ne me demander pas pourquoi, je n’en sais absolument rien ! Lorsque j’avais quitté Handoar au fort de Sar’Hetsu, je pensais que ma souffrance allait s’estomper pendant mon vol. Mais à peine avais-je entamé mon voyage, qu’elle était revenue me tenailler. De ce fait, je me suis de nouveau écrasé, aux pieds des montagnes rocheuses de la Comtée. Ma vue commençait à se brouiller, alors que je déployais mes ailes pour m’envoler jusqu’au sommet de la montagne la plus proche, celle qui dominait toute les autres. Je me demande encore comment j’ai fais pour m’envoler… les ailes désormais repliées autour de moi, j’observais le monde qui s’offrait à moi.

Elle refusait de s’arrêter, cette saloperie de douleur. Combien de temps allais-je encore devoir supporter ça ?! La lueur verte en moi commençait lentement à envelopper l’ensemble de mon corps décharné. Puis dans un mouvement aussi rapide que violent, je déployais mes vastes ailes, tout en poussant un hurlement fracassant. Ma vue avait complètement changé. Je ne voyais plus avec mes yeux, mais avec ceux de ma haine. Cette haine implorant la mort des vivants, sans la moindre exception. J’utilisais mes ailes pour me propulser vers le bas de la montagne, ravageant la zone à mon atterrissage. Je balayais les environs du regard, il y avait déjà quelques cadavres d’animaux en tout genre à mes pattes. Je commençais à me déplacer aux alentours des montagnes à la recherche d’un quelconque être à qui arracher le droit de vivre.

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Un papillon! Devant moi voletait un papillon très jolie... je me perdais dans se petit être qui s'amusait à jouer avec le vent. Un petit peux d'amusement dans se monde de guerre ne me fera pas mal... Car venant de revenir d'un goulet où je dus vaincre ennemis en tout genre, me rappelant de leurs têtes voletant au dessus de moi leurs cris de douleur leur.... *Oups m'écarte du sujet*.

J'aurais aimé resté serein comme je l'étais jeune dragonnet à joué avec ma queue. Continuant de flâner dans les montagnes un cris retentis... une douleur m'accablait à l'instant je ressentais une tristesse profonde venant de quelqu'un... Je mis genou à terre et j'essayais tant bien que mal de me relever, mais la tristesse que je ressentais était trop forte, on aurait dit un enfant qui se faisait arraché de sa mère et qui pleurais de tout son être pour la revoir, Puis un léger tremblement suivit... comme si qu'une immense bête venait de prendre envole. Puis me relevant... je vis une masse descendre à toute vitesse.

Ce que je vis me remplit d'effrois, Un wyrm... Un dragon qui ne peux reposer en paix, Une âme torturée à jamais. Je le regardais, stupéfait il mesuré dans les quarante mètres à tout casser. Il était charcutait de partout, il avait une aura verte telle la corruption du dieux Harou sur les renégats, il était d'une pâle couleurs que je n'eus pas le temps de voir.

Mais la seule chose que je fus heureux d'apprendre c'est qu'il ne m'avait point vus. Reprenant la route je sentis une vibration... Ce dragon avait fissuré la parois... Abrutis !
Je voulais prendre mon envole, mais je n'eus pas le temps que je me retrouvé dans le vide à quelque centaines de mètre au dessus du sol... Mais me reprenant en main, je sortis mes deux immense ailes et je commença à me re-stabiliser, puis je remontais, priant pour que le monstre ne m'aperçoive pas.

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Anéantir. Tel était le mot qui ne cessait de passer en boucle dans mon esprit ravagé. Oui, je devais tout anéantir, plus rien ne devait exister. Ils devaient tous crever ! Eux qui pouvaient vivre et mourir. Un bruit retentissait dans mes oreilles, un sonorité qui m’était étrangement familière. Des puissant battements d’ailes, peut d’animaux peuvent provoquer un tel vacarme en faisant bouger ces membres. Un nouveau mot envahit mon esprit, un mot ayant un effet tout aussi apaisant que frustrant. Dragon. Je dirigeais mon regard vers la source de ce bruit coutumier. Je fus en revanche surpris de constater qu’il s’agissait d’un être humain presque banal, si l’ont ne prenait pas en compte ses ailes immenses. Les dragons auraient-ils la capacité de changer de forme ? Sans aucun doute, car même si mes yeux me montraient l’homme, mon esprit voyait le dragon. Peut importe après tout, je ne vois pas pourquoi je me perd dans ce genre de questionnement intérieur. Il doit juste crever, pas besoin de réfléchir plus pour comprendre ça.

Je déployais mes ailes, me dirigeant vers lui. Jamais je n’étais allé aussi vite de toute mon existence… dû moins il me semble que non. Mon esprit ne voyait qu’une chose : un dragon que je devais massacrer. J’avais une étrange sensation, comme si cette envie meurtrière agissait pareillement qu’une source d’énergie sur mon corps mort, j’avais l’impression que rien ne pourrait me stopper, que rien ne m’empêcherais d’étriper cette horreur. Je n’étais plus très loin, seul quelques mètres nous séparaient. Le regard empli de rage, je ne cessais d’accéléré, seulement habité par l’envie de tuer. Nous étions si proche, mais au dernier moment je me décalais sur la droite, évitant ainsi un choc frontal. Cependant, pendant cette manœuvre inattendu, je tentais par la même occasion de le lacérer d’un coup de griffe. Je continuais ma course sur quelques mètres avant de cesser toute avancée. Dans ma précipitation, je n’avais pas vraiment sentis si j’avais réussit à atteindre ma cible, ou si mon attaque avait tout simplement échouée. Je me tournais alors vers ma proie, pour constater l’étendu des dégâts potentiels.

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Remontant doucement, je n'entendis plus rien. Mauvais signe, il ne fallait pas que je reste la ! Mais à peine ma pensée eu traversée mon esprit, que le monstre se rua sur moi, pourquoi faut-il que je rencontre des hostilité tout le temps !? Le wyrm voyait rouge ça j'en était certains ! Mais si j'arrivais à le résonner de quelconque manière...
Pourquoi devais-je tout le temps penser alors que la mort courait prés de moi. Le monstre arriva prés de moi, je me préparais à me prendre un coup, quand il déviât sa trajectoire pour se "poser" à coter de moi... Je ne voulais pas me battre contre cette pauvre créature. Une pensée qui m'a valut une belle entaille sur les côtes, pendant que je m'apitoyait sur mon ancien frère, il en profita pour me donner un coup de patte qui m'entailla les côtes, la douleur ma surpris. C'est bon, je vois rouge.

Sortant mon épée que je commençais à tournoyer, je devais réfléchir à un plan, comment terrasser une grosse bébête de 40 mètre de haut...
Illumination, la lueur malsaine de son ventre, c'est surement la source de son pouvoir, voir son coeur, si j'arrive à lui prodiguer le plus de coup dedans... Je risque de l'affaiblir !
Se concentrer, penser aux petits papillons voletant dans les airs, ce que je fis à merveille.
Je le regarda et lui sourit
Tu n'as pas choisis ton jour mon amis, je viens de sortir d'une bataille et je suis légèrement énervé, donc soit tu m'explique ton problème devant un bon repas, soit ont se met chère et ont en discute devant un bon repas."

Je rigola assez fort pour presque rugir, et je donnais un coup d'aile et sauta sur mon "ennemis potentiel".

La capacité que j'aime avec mon épée, c'est qu'elle est lourde et rapide, de gros dégâts en peux de temps. Arrivant sur le monstre je ferma les yeux et frappa du mieux que je pouvais. Pourquoi je fermé les yeux, pour me concentré, l'odeur du monstre était forte, pas désagréable mais elle était assez forte pour vous déstabilisé. Je devait à tout pris me concentrer, car voyant ses yeux... Je crois que la plus petite erreur me sera FATALE.

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