Dans l'embarras!

Galadrielle ouvrit enfin les yeux. Qu’est-ce qu’elle avait mal à la tête! Que s’était-il passé pour qu’elle se soit endormie? Elle n’en savait rien. De toute façon, elle ne pouvait pas trop réfléchir; elle était encore dans les vapes. La jeune hybride entendit une discussion sur quelque chose. Un prix? Des gens débattait sur un prix? Mais le prix de quoi? Elle essaya de bouger son bras. Elle entendit des bruits de chaînes. Quoi? Elle était enchaînée? Elle ne comprenait plus rien. Elle tenta de parler, mais c’était à voix basse.

- Où... où suis-je?
- Dans le Fort humain du Delta…T’es la petite nouvelle?
La voix venait de sa gauche. Toujours la tête dans le brouillard, elle demanda :

- Comment nouvelle? Pourquoi suis-je enchaînée?
- La nouvelle esclave! Oh oh! Ça ne va pas? Tu ne sais vraiment pas ce qui s’est passé pour que tu te ramasse ici?…Apparemment tu t’es fait assommée pendant que tu sortais en douce de ta cité et on t’a ramené ici pour te vendre en tant qu’esclave. En y passant, jolie robe blanche!
La jeune hybride sursauta. Elle…esclave? Elle allait devoir s’apprêter à découvrir un monde sadique et sans scrupule.

- Je m’appelle Alyssia, heureuse de te connaître.

Galadrielle ne répondit pas. Elle commençait à sortir des vapes. Sa vue commençait peu à peu à s’éclaircir. Elle vit alors les rues et le marché qui l’entourait. Elle était donc bien au marché des esclaves. Galadrielle descendit son regard tracassé vers ses mains encore tremblante et enchaînée. Elle allait être vendue comme une vulgaire marchandise et rien de plus. Les gens passaient, les regardaient, fixaient un prix et emmenaient avec eux un esclave. La jeune prêtresse avait l’impression d’être un objet. Elle était enchaînée partout : à la taille, aux bras, aux mains, au jambes et même au cou. Les autres esclaves aussi. Les vendeurs craignaient que leurs marchandises réussissent à partir. La jeune demoiselle regarda ensuite sa tenue en baissant les yeux. Elle avait toujours sa robe blanche. Par contre, sa chevelure d’orée était complètement en désordre. Elle respira tranquillement, bien qu’elle était angoissée. Mais, si elle tombait sur un mauvais acheteur et qu’allait-elle devenir? Cela reste un grand mystère. Les heures passaient et Galadrielle attendait. Alyssia et d’autres esclaves ont étés achetés. Il ne lui restait plus beaucoup de temps pour réfléchir.Comment allait-elle sortir de ce lieu de torture? Au bout d’un moment, vulnérable, elle regarda le ciel. Il commençait à faire de plus en plus sombre, la nuit allait tomber et elle avait le devoir d’être au conseil, car son peuple allait entrer en guerre. Elle ignorait pourquoi elle se trouvait dans ce marché et comment elle y était arrivé. Mais elle se souvenait de tout le reste…

Soudainement, elle eu une idée de génie. La cage était remplie de liane et si elle sent servait pour se libérer? Gardant toujours sa concentration, elle dirigea les lianes entre les chaînes qui la tenait immobile jusqu’à ce que celle-ci éclate sous la pression des lianes. La jeune hybride ouvrit enfin les yeux afin de regarder autour d’elle pour voir si quelqu’un l’avait vu. Heureusement, la place était maintenant vide, car tous était parti dormir. Elle brisa le cadenas et la porte s’ouvrit devant elle. Un sourire triomphant se dessina sur son tendre petit visage. Elle était épuisé, car elle venait à peine d’utiliser toute les forces qu’il lui restait. Chancelante, elle se mit à marcher avec difficulté vers la première issue qu’elle trouva.

Une brise d'air venait de passer dans mes cheveux, le vent de la campagne est super... Mais la on est en ville, et pourtant j'avais l'impression d'être dehors. je me promenais dans la rue centrale. je marchais sur des pavé posé avec une délicatesse d'un démon enragé dans une échoppe de porcelaine. Heureusement que j'avais gardé mes chaussures aux pieds. Les dalles remontaient, biscornu, même pas polis. Les gens déambulé, marchant maladroitement à côté de moi. Je n'en pouvais plus de cette foule, je scrutais es maison aux alentours, maison fort jolies elles. Je m'approchais de l'une d'elle, toucha le mur, et pus constater qu'il étais fort en prise de main.
Je pris donc une bonne inspiration, et commença à monté, je m'accrochais au premier rebord venu, je puis comme ça monté sur la première fenêtre, et constata... qu'une personne dévêtu était en train de faire des choses bizarre... je continuais donc ma montée, plus vite, enlevant cette horrible image.

J'arrivais enfin sur les toits, l'air un peux plus frais, et beaucoup moins de personne dans les horizons, je pouvais enfin "m'amuser" librement. Je sortis donc ma flûte traversière et je commença à jouer. La mélodie m'emportais,je me sentais vivre de nouveau. Il n'y avait pas à dire être ménestrel c'est le pied ! Je jouais donc ma musique tout en dansant, enlevant mes chaussure, que j'entreposais dans mon sac. caressant donc les tuiles de mes pieds, je me promenais sur les toits. Quand sans crier gare mon pied glissa sur une tuile vétuste qui se défit de l'endroit ou elle était mise. Je glissa donc par "terre" et entama une roulade jusqu'au bord du toit... Pourquoi je devais toujours tombé sur des moments comme ça moi... Je m'accrochais donc à la charpente, me croyant sauvé, un miracle se produisit. Je commençais à me remonter quand un oiseau vint s'écraser contre mon crane. La douleur ne fut pas grande, mais juste assez pour lâcher prise, j'entamais donc une chute inexorable vers le sol qui me tendais les bras. je sentais l'air se frotter contre mes joues, et puis je tombais dans une botte de foin.

La chute ne fut donc pas douloureuse, mais elle m’assomma presque, j'étais dans les vapes, entendais les brides de phrase des passants. Ils vendaient des choses, de bonne qualités, avec bonne poitrine... Je me demandais qu'elle objet avait une poitrine.... une théière ? Non... puis le Tilt... Je sus ce que ses hommes vendaient... Et se fut horrible... Ils vendaient des cochons ! comment pouvaient ont manger ses pauvres bêtes... Mais une voix, enfin deux, me firent comprendre que je me trompais. Quand j'entendis que ces personnes étaient des Esclaves, mon sang ne fit qu'un tour. On n'avait pas le droit de faire cela à des femmes. Il fallait que j'agisse, mais avant cela que je me repose. Je saignais des oreilles, j'avais du prendre un coup un peux trop fort sur ma tempe.

Je m'endormis donc, me réveillant vers ce qui fut la nuit. Un bruit m'avais réveillé, un claquement de je ne sais trop quoi. Je me levais donc, doucement. Et je vis une jeune femme, blonde, très belle sortir de la cage, surement la où elle était retenu prisonnière. elle chancelait un peux, je me décida donc de la suivre doucement, puis voyant qu'elle ne survivrais pas beaucoup de temps toute seul comme cela, je me décida à la prévenir de ma présence.



Olah ! Que faites vous ici ? Ne devriez vous pas être dans ma cage ? Je la regardait d'un air méchant, puis quelques minutes après je me mis à rire. Non je plaisante, Nym à votre service, je vois que vous avez besoin d'aide pour partir d'ici. Et je me suis dit... que je pourrais vous aider.