Une personne indésirable (pv Oz)

Remillia avait passé une nuit d'enfer. Elle avait sentie l'odeur du sang et son instinct animal vampirique avait pris le dessus et avis causer tout se carnage. Étant immobile au beau milieu de tout ses corps elle respirait vite. Reprenant conscience de se qu'elle avait causée elle partit à la course se réfugiée et pleurer un bon coup avant d'être prise sur le fait. La jeune vampire pleura pleura, pleura jusqu'à s'endormir.

Lorsque le soleil se leva la jeune fille aux cheveux mauve se réveilla en s’étirant. Elle était encore dans la forêt, couchée dans un ancien terrier qui avais du servir a une bête. Elle se mit à la recherche de nourriture comme elle l'avait toujours apprise. Cherchant de petits animaux sauvages et dut finalement se rabattre sur les plantes comestibles. Se fut un court repas qui la reput qu'à peine pour la journée mais elle verra lorsqu'elle aura de nouveau faim. Elle se mit en route pour une nouvelle aventure pour la petite voleuse qu'elle était. Se rendant en ville et dans les auberge, elle écouta qui serais bon à voler et s'est entre deux types louches qui parlèrent d'une genre de guilde d'esclavage. Ne sachant pas se que c'est que cette guild, mais l'esclavage...( se secouant la tête pour rester concentrer). Elle les suivit toute la journée pour essayer d'avoir un peu plus d'information. La première journée fue décevante. Retournant dans son minuscule logis temporaire et retourna en ville la veille avec des pommes qu'elle vola en passant. Elle réussi à savoir où c'était. Elle prit son air de chien battue et dut se salir pour paraître convaincante.

- Pardonnez-moi monsieur, je me suis perdue. Je devait aller en ville pour aller acheter de la nourriture à mon maître, mais j'ai oublier comment y retournée.( dit-elle en pleure). Sauriez-vous retrouver pour moi le chemin du manoir ?

-( Le type se mit à rire) Ho , pauvre petite chose !

-Si je ne revient pas, il me battra et me privera de nourriture... pitiez.....

-(Soupirant n'ayant pas envie non plus d'avoir plus de problème à cause d'une gamin) Sa va ! SA VA ! Cesse de pleurnicher! Tu me dégoute. Viens, comment t'appelle tu petite ? ( dit-il en prenant la main un peu trop fort pour la gamine).

-Je me nomme Arika....(dit-elle en mentant sur son nom) et j'ai .....12 ans...

Ils marchèrent un bon moment dans la forêt en silence. Remillia continua de jouer la comédie de la pauvre enfant perdue. La forêt était dense et laisser filtrer peu la lumière, les oiseaux y chantait comme une chanson éternel durant le jour. Cet environnement était beau et magique. Ils marchèrent une bonne heure et quand elle aperçut au loin le pignon de la demeure le type s'arrêta net et me prit par les épaules.

- À ta place je filerais d'ici, mais tu as décider d'y revenir. Je n'irais donc pas contre ta décisions, mais si tu veut, tu peut venir chez moi à la place.

Rémillia fit un timide non de la tete.
-Si, je ne revient pas, il me cherchera et nous tuera tous les deux......

-Dans se cas, tu ne ma jamais vu, je ne t'est jamais vu, alors adieu, c'est tout droit devant toi.

Sur ses mots, il repartit à la course et Rémillia attendit qu'il ait disparut deson champs de vision et se débarbouillia en maugréant, mais elle avait atteint le lieux qu'elle voulait trouvée. Rémillia avait été une très bonne comédienne au près de Doubhée, la jeune voleuse et tueuse sirène qu'il idôlait tant.. Elle se reprocher, c'était magnifique et imposant à la fois. Une grande demeure doit cacher des tonnes de secrets dont certain de valeurs. Rémillia inspecta les environs, les gardes, ils portaient tous un espèce de masque. Leur tours et tous leurs faits et gestes. Durant plusieurs jours, elle observa les allés et les venus. La jeune vampire but une de ses fioles de sangs et se concentra sur le larcins qu'elle commettrait. Elle entra silencieusement dans une chambre en s'aidant de ses pouvoir de lévitation et de la noirceur qui était sa soeur préféré. Elle ne fit aucun bruit, marchant silencieusement sur le tapis de la chambre s'approchant du lit, écoutant tout se qui se passait autour.

C'était une nuit comme une autre, toute se ressemblaient à la guilde, toute n'était qu'ennui, enfin monotonie, je devenais de plus en plus difficile, je passais donc mes journées à rédiger de la paperasse, être inviter à des réceptions, planifier des plans pour la guilde, au bout de 100 ans cela nous parait excessivement rébarbatif. 100 ans prisonniers entre ces mêmes murs, je partais souvent à l'extérieur, mais les intrigues de la guide devenaient pesante, alors je fis comme je le pouvais pour me divertir et décompresser. Les divertissements avec des esclaves de tout genre, les combats d'arène, tout cela égaillait mes journées, seul sur mon trône, Maître de la vie et de la mort, de la liberté et de l'asservissement. Ce poste est bien plus ennuyeux qu'on ne puisse le croire, mais je m'y habitue malheureusement Cette nuit là, comme toutes les nuits en général, je n'avais pas réussi à bien dormir, alors comme habitude je sortais de la guilde, errant à travers les ruelles sombres des bas quartiers.

Avec pour seul compagnon, mon orbe et ma déception, ne voyant que les spectacles habituels, les prostituer, les voleurs, les coupes jarrets, la vermine habituelle, cette vermine qui m'obéissant, tous s'inclinant devant moi ou se retirant dès que je porte mon regard sur eux. Les bas quartiers, cet endroit m'appartiens totalement, Sar'Hetsu rejoindra mon Empire bien assez tôt. Après avoir marché pendant une partie de la nuit je décidais de rentrer chez moi, traversant lentement l'immense bâtisse, ce palais somptueux que j'avais fait ériger en mon honneur, rien n'est assez majestueux pour montrer ma puissance, les gens sont ainsi étonner d'y trouver même un jardin, des fontaines et plusieurs statues de représentant la Main de Fer et autres esclaves.....et de moi, le meilleur étant le trône., j’y ais aussi aménager une arène et dans ce palais siège bon nombre d’esclaves et membre de la guilde, et parfois des inviter, quand on pense à venir me voir…

Je retournais donc dans ma chambre posant mon orbe sur son socle entièrement réservé, me déshabillant lentement puis me couchait dans mon lit, laissant baigner la pièce dans la lueur de violette de l'orbe, lentement je m'endormais, seul dans ma grande chambre. Comme à mon habitude, chaque nuit, mon passer défilait de nouveau de mes yeux, cette fois si ce n'était pas le cauchemar habituel du village elfique, mais mon retour au pays, les jours sombres où je retournais enfin chez moi après 100 ans d'exil. De l'attaque de la Maison jusqu'à la mort de ma mère, tout défilait devant mes yeux, je me revoyais tuant de sang froid ma mère dans une euphorie totale, voir ce qu'était le plaisir à l'état pur, la douleur fut longue et exquise pour cet être que j'avais autrefois Maîtresse et désormais, moi seul serait le Maître.....je le sentais, cette nuit allait être très longue....

Rémillia observa la personne qui semblait dormir à poing fermée. En l'ayant observée toute la semaine et se décider quand se mettre à l'action elle l'avait vu traîner avec un objet mystérieux se qui l'avait pousser à aller plus loin dans sa décision du vol. Quand, elle avait entrée dans la chambre, elle l'Avait toute suite remarquer sur son pied d'estrade prêt à se faire voler. Comme un trophée qui l'attendais elle. Rémillia se tourna vers le socle et l'observa sous tout ses angles. L'objet était très beau et très lumineux de couleur rose, des inscriptions y était gravé qu'elle ne sut pas y lire. Haussnat les épaules se disant qu'il vaudrait, un objet de cette taille qui n'était pas plus gros qu'une tête humaine vaudrait beaucoup d'argent jusqu'aux reste de sa vie. Elle s'en approcha délicatement et le prit délicatement pour le mettre dans un sac qu'elle cachais sous sa robe. Elle quitta la chambre sur la pointe de ses pieds, mais dût aller se cacher dans un coin car un gardes fessait sa ronde d'un pas lent et endormis. Attendant qu'il l'aie passer et se dirigea vers une autre pièce qui n'était pas gardée, la chambre d'invité. Elle y entra et souffla un peu. C'était très excitant pour elle un cambriolage de se genre. Rémillia se mit à fouiller toute la pièce, le moindre petit objet de valeurs assez intéressant et même plus lui plaisait. Mais ne se contentant pas de petit magôt, elle chercha même des plans et toute sorte de choses.

-Je dois me dépêcher avant le lever du jour. (Chuchota t-elle pour elle-même). Doubhée va être contente.

La soirée fut plutôt courte et elle n'avais pas trouver plus de valeur que cet orbe mystérieux. Entrant dans la bibliothè, elle chercha un bouquin de valeur et en trouva un fort intéressant. Le fessant voler avec sa télékinésie, elle ne remarqua pas du tout que quelqu'un entrain dans la pièce pour un livre à cette heure si tardive, en silence. La voyant immobile alors qu'elle était concentrée sur son pouvoir, il s'écria :

- Qui êtes vous ! Au voleur ! Appeler le maitre !

Rémillia stoppa son geste qui fit en sorte que le bouqin qu'elle sortait c'écrase sur sa tête. En plus le volume semblait gros et lorsqu'elle avait un de ses mal de tête alors que le garde lui pointant sa lance vers elle qu'elle eut que le réflexe de lever en l'air les mains se qui fit en sorte que du sac l'orbe se mit à rouler hors du sac.

-Dites au maître que notre petite voleuse a prit son objet indispensable. ( Dit le premier garde au second qui venais d'arriver derrière lui) Un seul geste et vous aller le regrettez, vous n'avez plus aucun échappatoire.

Rémillia tenta de s'envoler mais elle n'y arrivais pas...

''Je suis trop sur les nerfs en se moment, je n'arrive à rien dans ces situation là .... laissons voir comment que les choses se passeront et d'ici là je trouverait un plan d'invasion.''

Les gardes vinrent l'attraper par les deux bras de chaque côté d'elle, et elle baissa la tête en signe de soumission.

Les gardes m'avaient réveillé en grandes trompes, ils avaient hésité à me réveiller voyant que mon orbe était absent de son piédestal, sa lumière n'irradiait plus la chambre, ils avaient peur, ils savaient de quoi j'étais capable si je n'avais plus mon orbe, par chance pour eux la voleuse n'avait pas quitté le bâtiment. Je ne m'étais contenté de sourire légèrement à leurs excuses et implorations, j'aurais pu les tuer et ils le savaient, ils voyaient que le manque commençait à me tirailler et qu'un être bien plus sombre venait avec le manque. Ils m'avaient emmené à la bibliothèque, ne cessant pas de vanter les mérites de leur système de sécurité, pour m'amadouer certainement, je me contentais de marcher silencieusement, j'avais pris le temps de m'habiller dans ma tenue de Grand Maître de l'ordre de la Main de Fer, nous étions enfin arrivés dans la bibliothèque, les gardes avaient empoigné notre petite voleuse.

Je regardais d’un œil amuser un garde me donner mon orbe subtilisé par mon intrus, lentement je pris l’orbe, le rangeant dans ma poche avant d’avancer vers cette petite fille, ne me souciant plus de ses gardes inintéressants. Qui était ‘elle ? Une espionne, venant d’une organisation rivale ? Pour qui travaillait-elle ? Elle avait exactement su où me frapper pour me vaincre, la perte de l’orbe aurait été tragique, mortel même, je devrais prendre beaucoup plus de précautions pour notre sécurité à tous les deux. J’observais la voleuse, elle était douée pour une enfant, lentement je m’agenouillais pour me mettre à son niveau et d’un ton compatissant, comme désoler de la situation je lui murmurais à l’oreille, essayant de me montrer le plus attentif possible à sa situation.

« Une jeune fille ne devrait pas se promener seule ici…c’est un endroit dangereux, je ne peux garantir ta sécurité entre ces murs…dit moi qui t’a envoyer ici et je te laisserais partir…tu as un nom je suppose ? Je ne veux que t’aider…il serait regrettable que je ne m’énerve non ? »

J'attendais la réponse de ma voleuse patiemment, je n'allais pas me montrer violent et cruel si je pouvais avoir toute les réponses par la diplomatie, quelqu'un l'avait forcement envoyé, une petite fille comme elle ne pouvait avoir infiltré ma guilde aussi facilement sans aide, quelle soit extérieur ou intérieur. Mais la perte de l'orbe avait réveillé de vielles pulsions en moi, si elle ne me satisfaisait pas rapidement, je me sentirais obliger de devoir « couter ses pulsions, je ne voulais pas le faire, mais mon autre moi était bien plus douer que moi pour faire parler les récalcitrants. Si ce cas de figure devait arriver, ma voleuse ne s'en remettrait surement pas, mais je l'avais fait bien des fois et une fois de plus ne me dérangeait absolument pas. Je le sentais tout au fond de moi, il n'attendait qu'une occasion pour sortir, les gardes avaient préparé sur mes ordres la salle de torture au cas où et plusieurs esclaves pour me détendre si mon léger changement de personnalités devait avoir lieu, tous étaient au pied de guerre, tremblant au moindre de mes mouvements, ils avaient raison de s'inquiéter...

Rémillia attendait patiemment que sa victime, soit dit en passant le propriétaire des lieux, arrivent à leur rencontre. Rémillia savait pertinemment se sortir de n'importe quel pétrin par n'importe quels moyens, mais là il était temps d'attendre. Lorsqu'il arriva en fin, elle leva un œil et le vit ramasser l’objet rond et le remettre sur sa poche. Elle sentait les gardes qui la tenait trembler, mais elle, elle resta de marbre ne montrant pas ses émotion comme elle l'avait si bien apprise. Elle ne lui montrerait aucune once de peur, une tête forte qui n'as peur de rien. Le type était deux fois plus grand qu'elle et son visage était à demi cacher et avait les mains noir. Il c'était approcher de moi et agenouiller, me parla d'une voix calme et compatissante. Mais elle savais que c'était que du vent car elle connaissait généralement tous les moyens de manipulation. Elle reprit son air de chien battu et prit sa voix plaintive.

-Maître, vous ne me reconnaissez donc pas ? Je suis Arika, l'une de vos esclaves servante, j'ai trouver votre objet des mains d'une voleuse, qui est entrain de s'évadée d'ici, mais avant que j'ai plus expliquer quoique se sois, vos hommes m'ont sauvagement agresser lorsque je fessait mon travail. C'est à dire, ranger les livres de la bibliothèques à leur place. C'est la première fois que vous me voyer, il est normal mais ont m'as inviter à faire se boulot.


-C'est faux mon seigneur, elle avait le sac en main et tentait de dérober un livre.J'ai vu le livre s’extirper par lui-même.

- Bien sur que non, je croit que vos gardes ont besoins de sommeil, car je n'est pas se talents.

-Alors pourquoi n'aviez vous pas sonnez l'alerte, mademoiselle? ( vit un autre gardes )

-Parce que je n'avait pas l'intention de réveillez tout le monde pour quelque chose que j'ai réglez moi-même et que j'allais rendre à son propriétaire. Être accuser à tord d'être une voleuse en réveillant tout les gens pour un vol que je n'est pas commis, pfff.

Remillia avait toujours le cerveaux qui marchait a 1000 à l'heure et pour se trouver des raison et des histoires c'était facile. Elle pourrait tellement expliquer se que ferais une sauterelle unijambiste qui se met à jouer du violon soit tout à fait naturel en se lieux de pleine lune. Mais pour le moment, elle se devait de rester plausible et attendre pour voir si le maître des lieux allait gober se mensonge. Attendant, elle était totalement calme et elle se disais qu'elle avait la situation bien en main. Ce qui était faux mais elle n'y songea pas. Elle releva la tête et fixa Oz lui démontrant qu'elle n'était pas n'importe qui, sois une menace silencieuse ou plutôt un avertissement.