Les Mondes de Shibai
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 Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière

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Aëlia
Noble Aventurière
Noble Aventurière
Aëlia


Messages : 129
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 33

Feuille de personnage
Race: Elfe
Classe / Rang: Haute Elfe
Camps: Equilibre

Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière Empty
MessageSujet: Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière   Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière Icon_minitimeVen 22 Juin - 9:39

Nom : Ki’ ileïs

Prénom : Aëlia

Âge : 280 ans

Sexe : Féminin

Race / Monde d’origine : Elfe des Contrées Féériques de l’Ouest

Alignement : Tendance à faire le bien

Rang / Classe Sociale : Appartient à la Noblesse Elfique

Description physique : Aëlia est une fée dans la fleur de l’âge ayant héritée des meilleurs atouts de sa race. Sa longue chevelure tombe telle une cascade aux couleurs dorées, jusqu’à mi-cuisse. Ses yeux bleus azur ont le don de faire plonger, une partie importante de la gente masculine, dans les profondeurs abyssales de leur esprit, l’espace de quelques instants, avant qu’ils puissent remonter à la surface. La discrétion de son nez, ainsi que la finesse de sa bouche, parent à merveille le teint rosé de son visage et ne vient, en aucun cas, dénaturer sa beauté naturelle.

La génétique elfique veut que leur taille soit inévitablement grande. Aëlia n’a su échapper à celle-ci et mesure dans les alentours d’un mètre soixante-dix de hauteur. Cette taille ne la désavantage nullement et lui donne un charme, typique des membres de sa race. Son corps fin et ses formes généreuses attirent le regard des hommes et en font rêver plus d’un. Tel un mannequin, elle a de magnifiques jambes longues et minces.
Niveau vestimentaire, son rang social l’oblige à porter des tenues élégantes, de bonne qualité souvent hors de prix.


"Vos vêtements dissimulent une grande part de votre beauté, mais ne cachent pas ce qui est laid." (Khalil Gibran)


Sa mère, fière de sa progéniture, lui choisit la plupart du temps, des vêtements à la fois raffinés et affriolants, afin de ne pas choquer l’assistance et attirer l’œil sur elle, dans le but de se démarquer et de recevoir des félicitations.

Pour les réceptions:

Ces habits, elle ne sont portés que lorsqu’elle doit se montrer en public afin de satisfaire l’orgueil de sa génitrice. Aëlia quitte souvent la cité pour aller dans la forêt. Dans ces moments-là, elle porte une toute autre tenue qui, selon son entourage, n’est pas digne de son rang. Celle-ci est composée d’un top brun, en cuir moyen, couvrant uniquement la poitrine et d’un mini-short de la même matière. Il se ferme grâce à des boutons sur le côté droit, juste en dessous de son aisselle. Elle porte des brassards de force, de matière similaire que sa tenue, à chacun de ses délicats poignets. Des bottes, montant légèrement au-dessus de ses genoux, son arc et son carquois viennent finaliser sa tenue de jolie rodeuse forestière.

Aëlia, la rôdeuse:

Elle se sépare rarement de son diadème elfique, qui lui a été offert par sa défunte grand-mère. Sertit d’une ravissante améthyste ou d’un saphir, selon le pendentif qu’elle choisit, positionnés sur son front, qui fait ressortir c’est yeux océan, il est attaché par un simple fermoir à l’arrière de la tête.

Description morale :

"Les caprices sont les privilèges de la beauté." (Wole Soyinka)

Commençons tout d’abord par les qualités de cette demoiselle. Elle le prend plus pour un fardeau à cause de la lubie de sa mère, mais elle est très belle. Calme et posée lorsqu’elle doit prendre de grandes décisions ou faire bonne figure devant une assemblée. Elle est honnête avec ceux qu’elle aime et déteste lorsque que ceux-ci lui mentent. Exerçant l’art de tirer à l’arc depuis plus de 200 ans, elle maîtrise parfaitement cette arme. Aëlia est rapide, agile et très souple. Dû à son expérience dans l’art de l’évasion et la compétence héréditaire des elfes de se fondre dans la nature, elle est douée pour se dissimuler dans une forêt, même en pleine journée.

A présent, les défauts. Un brin capricieuse et égoïste envers tous ceux qui cherchent à la contrôler, elle adore les faire rendre fou, en faisant des actions qui ne leur plaisent pas ou leur demander l’impossible. Perfectionniste dans tout ce qu’elle fait, elle met beaucoup de temps dans ses réflexions en pesant le pour et le contre, ce qui lui pose souvent des problèmes. Elle est souvent froide avec les autres races, tant qu’elle ne connait pas la personne. Elle est également un peu susceptible, ce qui n’est pas évident pour les personnes, qu’elle vient de rencontrer.

Elle adore la nature, et surtout, vivre de nouvelles aventures. Aëlia ne pense qu’à quitter sa prison doré, pour rendre folle sa mère et satisfaire son amour de la liberté. Dès qu’elle passe le mur d’enceinte de sa demeure, elle aime rejoindre son amie d’enfance, une adorable pixies de lumière.

Cette demoiselle déteste les êtres maléfiques et les Drows. Ces derniers étant des elfes souillés par le mal, il y a de cela de nombreuses années, et car l’un d’entre eux à assassiner sa grand-mère, qui était pour elle, la personne la plus merveilleuse au monde.


Histoire :

"Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté." (Charles Baudelaire)

Ses parents, en particulier sa mère, jaloux de la beauté et de la prestance des anges, donnèrent à leur fille le nom de Aëlia, qui signifie « Ange » en elfique.

Cette dernière a passé ses 80 premières années, à suivre scrupuleusement l’enseignement de sa mère, portant sur l’étiquette et l’attitude que doit avoir les personnes de leur rang. Savoir se tenir droite, être élégante et jouer de ses charmes sont, selon sa génitrice, les éléments les plus importants pour réussir dans la société. « Le but de tout homme est de gravir les échelons. Tous les moyens sont bons pour atteindre les sommets et vivre dans le luxe » est l’expression favorite de sa mère. Aëlia buvait ses paroles et ne doutait jamais d’elle. Elle adorait vivre comme une princesse et s’imaginait déjà épousait le prince héritier de la couronne, au plus grand bonheur de ses parents et surtout, de sa grand-mère.

Celle-ci, malgré son grand âge, était aux yeux d’Aëlia, la plus belle et merveilleuse fée de tout Shibai. Douce, gentille et attentionnée, elle faisait tout pour rendre heureuse sa petite fille, en la gâtant, peut-être un petit trop parfois, mais elle l’aimait plus que tout au monde. Contrairement à sa mère, elle ne la poussait pas à devenir une magnifique poupée, destinée à vivre toute sa vie dans un château haut en couleurs. Elle la faisait rêver, l’encourageait lorsqu’elle souhaitait faire quelque chose, que sa mère risquerait de ne pas accepter. Aëlia passait de longs moments avec elle et aimait, particulièrement, lorsque celle-ci l’emmenait sentir l’odeur des pins de la forêt avoisinante. C’est ainsi qu’elle rencontra Lÿzie, une magnifique pixies lumineuse, qui devint sa meilleure amie.

Un jour, lors d’une promenade avec sa grand-mère, elle vit une personne utiliser un morceau de bois en arc de cercle, sur lequel une corde tendue reliait les deux extrémités. En tendant cette corde et la lâchant brusquement, elle projetait de fin morceaux de bois, avec une extrémité en ferraille, à l’aspect très aiguisé. La personne se mouvait avec agilité et volupté, projetant, avec grâce, ses projectiles sur une cible. La jeune fée était émerveillée par ce spectacle et ne détournait plus les yeux. Le lendemain, sa grand-mère, ayant remarqué son admiration, lui fit la surprise d’essayer cet art. Les larmes aux yeux, elle essaya de tirer une flèche sur la cible, mais celle-ci se planta dans le sol un mètre plus loin. Déçue de sa prestation, elle voulut abandonner, mais sa grand-mère, par la suite, lui appris la plus grande leçon de sa vie. Elle s’approcha de la petite, l’aida à tenir l’arc et lui donner la bonne posture à avoir. Avant de tirer la flèche, sa grand-mère lui dit ses mots, que jamais elle n’oubliera : « Si tu sais allier patience et persévérance pour réaliser tes rêves, alors… », elle guida la main de la petite pour qu’elle tende la corde de son arc, puis la lâcha, envoyant la flèche se planter directement sur la cible, « alors tu pourras réaliser tout ce que tu souhaites, peut-importe les obstacles qui se trouveront sur ton chemin. ».

Quelques semaines plus tard, alors que sa grand-mère allait rendre visite à une amie du village voisin, elle se fit assassiner par un Drow errant dans les parages. Depuis ce jour, Aëlia a une puissante haine contre cette espèce. Dans l’espoir de le retrouver un jour et venger sa défunte grand-mère, elle s’entraîna tous les jours à manier l’arc, au grand désespoir de sa mère, qui arrivait de moins en moins à se faire aduler par sa fille.

Les années passèrent et Aëlia atteignit l’âge de raison. Durant ce temps, la demoiselle a murie et avait, depuis longtemps, effacé ses rêves d’enfant innocente et comprenait d’avantage le vrai visage du monde. En particulier la véritable nature de sa mère; Une personne égoïste et imbue d’elle-même. Dès que son corps de femme a commencé à prendre forme, sa mère multipliait les réceptions et lui faisait porter de magnifiques vêtements, afin de recevoir des compliments et augmenter sa notoriété auprès des Hauts Elfes. Ne supportant plus de recevoir sans cesse des leçons, sur les agissements convenables d’une jeune femme de son rang, elle commença à développer un nouveau passe-temps, qui est de rendre dingue son noble entourage. Elle commença à faire le mur, agir de façon capricieuse. Plus elle passait de temps dans la forêt, plus elle se sentait vivre. Dès qu’elle se rendait compte que sa fille avait quitté sa chambre, elle envoyait immédiatement ses larbins à sa recherche, avec ordre de la retrouver le plus vite possible, afin qu’elle ne soit pas blessé. Non pas par peur qu’elle est mal, mais par crainte qu’elle ne soit marquée à vie et qu’elle ne puisse plus se servir du corps parfait de sa fille, comme tremplin pour sa avancée sociale.

Au fil des années, Aëlia devint une experte dans la manipulation du tir à l’arc et de l’évasion du cocon familial. Son caractère d’aventurière s’était réveillé et elle rêvait de voir plus que cette forêt, dont elle connaissait, à présent, dans les moindres détails, de la tanière des plus petits animaux, jusqu’à l’emplacement exactement des buissons fournissant les meilleurs baies. A force de passer du temps avec Lÿzie, La jeune femme commença à comprendre son langage féérique et à communiquer avec elle, comme si elle était une des siennes.

À présent, Aëlia envisage sérieusement de dépasser la lisière de la forêt et de découvrir le monde extérieur. Même si pour cela, elle devra affronter les pires dangers et communiquer avec d’autres races, qu’elle devra juger digne de confiance ou pas, avant de baisser sa garde.

L’aventure ne fait que commencer.

But ou quête : Découvrir de nouveaux horizons et venger sa grand-mère

Animal de compagnie : Elle n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler un animal de compagnie, mais comme elle la suit presque partout, cela revient un peu au même.
Lÿzie est une adorable pixies de lumière, qu’elle a rencontrée avec sa grand-mère lorsqu’elle était enfant. Une amitié profonde, un lien, s’est formé entre elles depuis ce jour-là et elles ne séparent plus. Cette boule de lumière est très protectrice, si elle ou Aëlia est en danger, elle brille d’une lumière aveuglante, avant filer à toutes ailes. Elle peut également former un léger champs de force qui protège des attaques physique et magique, mais cela l’épuise beaucoup et peut lui faire perdre, si elle l’utilise trop, sa lumière, sa vie.

Lÿzie:

Pouvoirs :

Don de la nature : Toutes ses années à vivre dans la nature, lui ont permis d’être plus sensible aux bruits et aux réactions de ce qu’il l’entoure. Être au côté de Lÿzie lui a permis de développer un don, qui est de comprendre tout être féérique ou membre du règne animal. (Les dragons n’en font pas partis évidemment)

Pierre guérisseuse : Sa grand-mère était une prêtresse et guérissait les blessures avec une ou deux pierres selon la gravité de celles-ci. Ces pierres ont été taillées et transformées en pendentif. La vieille femme les a léguées à sa petite fille, on lui offrant ses diadèmes elfique. Aëlia ne sait pas vraiment s’en servir car sa grand-mère est décédée avant de lui donner la former. Pour le moment, elle peut seulement guérir, de temps en temps, de légères blessures au prix d’une énorme concentration qui l’épuise assez rapidement.

Code présent dans le règlement : code bon (Eledel)

Autres : Elle adore monter dans les arbres

Où avez-vous connu le forum : Top RPG
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Enetari
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MessageSujet: Re: Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière   Aëlia Ki' ileïs, une noble aventurière Icon_minitimeVen 22 Juin - 12:19

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