cellule de cris [PV sur invitation]

je marchais accompagnée de Nym dans ce désert aride depuis des heures, personne à l'horizon, et tout ça... à cause de cette satanée alliance démoniaque, je pestai contre l'alliance tout le long du voyage, je faisait également de temps en temps arriver de douces brise de vent dur notre visage, mais seulement quand nous étions sur des pierres, car le sable dans le visage c'est très désagréable, il faisait chaud, très chaud, trop chaud dans cet endroit dénudée de population, de plus, la nuit allat bientôt tombée... mes pas étaient lourd quand un jeun homme arriva face à moi en courant, il portais un armure plus sombre que le noir le plus profond et une épée ensanglantée, mon sang ne fit qu'un tour, je sortis mon épée chaîne pour riposter à son premier coup, puis je fis claquer la chaîne avant de l'enrouler autour de sont cou, laissant sont sang couler jusqu'à ce qu'il n'ai plus un soubresaut de vie, il y avais deux autres homes avec lui, qui escortaient un chariot avec des cages et des animas emprisonnés

"Nym vas ouvrir les cages, moi je m'occupe des deux gugus tu sera gentil"

L'un des anima en sortant de la cage se mis a genoux devant moi

"gardienne de l'air, LA gardienne de l'air, je suis tellement heureux d'être encore vivant pour vous voir gardienne"

je me mis a rire sans me moquer puis m'abassais au niveau de l'anima

"appelle moi Taomi je t'en prie, je ne suis ici que dans le but de vous aider, je n'ai pas besoin d'être adulée, mais si c'est très gentil"

je m'adressais à lui avec un infini douceur, puis il se releva, crachant en direction de Nym

"c'est ton prisonnier?"

cette foi ci je fut un peux plus dure avec le jeun anima

"cette personne est Nym, mon bras droit, la seul vrais personne sur qui je peux compter, je peux t'assurer qu'il ne vous fera aucun mal, il m'a grandement aider et a permis a une ville de ne pas se faire attaquer, alors je te prirai de le respecter avec tout le respect qu'il mérite"
j'attrapais la mains de Nym, l'anima baissa les yeux se sentant un peux bête puis s'excusa au près de Nym, nous reprîmes donc la route vers le camps de anima guider par les animas qui étaient avec nous, le crépuscule arrivais, nous étions sur le camps des animas, tout étaient ravagés autour de nous, des femme pleurais, des enfants étaient blottis au creux des bras de leur maman effrayer, l'un d'entre eux pourtant vin vers Nym lui offrant gentiment un fruit que je connaissait bien, pour cause, il étais mon préféré, une sorte de grosse figue mais ronde particulièrement sucrée et juteuse, de quoi le désaltérer et le régaler en même temps puis il planta son regard dans le mien

"ce monsieur n'est pas comme tout les autre a la peau noire que j'ai pu voir

je pris l'enfant dans mes bras

"en effet, il est même leur exacte opposé, il m'aide dans cette guerre, c'est même grâce à lui qu'on a pu sauver une ville"

tout le monde se tournai vers nous suit au paroles du gamin, j'appris bien vite par sa mère que cette enfant avais le don de ressentir si les personnes étaient bonne ou mauvaises, Nym fut donc tout de suit aprecier et respecter après cela, on nous donna un tente et de quoi dormir, deux sac bourré de plumes étaient poser au sol dans cette tante ainsi qu'une grande peau d'ours car tout le monde le sais, dans le désert les nuits sont glaciales, je fut un peux gêner de savoir que j'allais partager une couverture et une tante avec Nym, mais j'oubliais vite.

"demain, tu apprendra à quelque un d'entre eux à manier l'épée? certains en auront besoin"

La nuit tombais petit à petit sur le camp ravagé, une bouffée de tristesse me pris soudainement, pourquoi faire couler tant de sang, pourquoi détruire des familles des vies? tant de question se bousculaient dans ma tête alors que je regardais les flammes danser sous la pâle lumière de le lune montante...

Un jeune garçon vin à côté de moi, j'avais déjà entendu parler de lui dans le camps, il me scruta, puis regarda Nym

"Merci d’être venue Vénérable Gardienne mais une entrée un peu plus tôt aurait-été plus profitable...."

je regardais l'anima, toujours impassible, je comprenais sa rage alors je me calmais puis posais ma voie pour qu'elle soit douce et calme, je replongeais tout aussi rapidement mon regard dans les flammes chaudes

"tu dois surement être le jeune Handoar, sache que mon arrivé plus tôt ici n'aurais rien pu faire de plus, car aucuns au démons n'as attaqué, de plus juste après vous d'autres petites villes se sont fais attaquer, nous ne sommes que 6 gardiens, don une qui ne se trouve pas dans les modes de shibai, nous ne pouvons donc pas être partout, de plus votre peuple est loin d'être le moins dangereux et le plus faible, personne n'aurais penser que vous seriez les premiers attaqués"

je marquais une courte pause, pour que ma voie ne laissa pas passer le moindre indice de ma colère ni de ma tristesse, pourtant j'avais du mal à cacher celle ci

"sache jeune anima que j'ai marcher toute la journée, sous le soleil brûlant du désert de l'oublie pour venir ici, et sache aussi que j'ai envoyer un lettre au roi humain et elfe pour qu'ils nous soutiennent, se n'est peut être pas la grande entente entre vous, mais ils nous serons utile, la reine drow qui est recemment montée sur le trône m'a l'air particulièrement dangereuse, il va falloir y faire très attention, elle s'est entouré de l'élite des chefs d'armée comme tu as pus le remarquer par cette attaque ils sont assez puissant, nous allons donc devoir utiliser la ruse plutôt que le force et plus nous seront nombreux mieux se sera"

je plongeais mon regard dans celui du jeune anima, je sentais sa colère, et je la comprenais

"sache que cette guerre m'afflige autant que toi, nous ferons tout pour que le sang cesse de couler, mais nous devons avant tout garder notre calme ce qui est chose très difficile"
J'avais l'impression d'entendre parler Eöwa quand moi même je parlais, cette sérénité dans ma voie me faisait presque peur, alors qu'a l’intérieure je bouillonnais

Comment décrire ce désert, si ce n’est par du sable, du sable et encore du sable, et …oh surprise, encore du sable! Bref, ce désert, comme son nom l’indique si bien, est une immensité de sable. Il s’étend à perte de vue et si vous avez la mégarde de vous éloignez de ses berges, vous risquez bien de vous y égarer définitivement. Or, vous égarer dans cette immensité sans fin de sable fin pourrait bien signifier votre mort. De plus, si vous avez le malheur de vous retrouver dans ce désert en plein jour, nul doute que la lumière solaire alors étouffante par sa chaleur caniculaire vous brûlera et vous réduira en cendres en moins de temps qu’il n’en faut pour dire désert…Mieux vaudrait trouver un abri avant qu’il ne soit trop tard..Mais j’oubliais, il n’y a pas d’abri dans un tel endroit. Enfin, il ne faut pas désespérer, à certain endroit, existe des Oasis. De multiples oasis, rares étendues et cours d’eau, jalonnent par-ci, par-là, ce désert, seul source de vie dans cette étendue majestueuse.

Telle fut ma surprise lorsque je découvris un campement. Celui des animas, comment un peuple pouvait-il réussir à vivre dans une telle condition. Mais ce qui me choqua le plus, ce fut de remarquer tout ces gens meurtri et sans vie dans chaque recoin de ce campement. Il y en avait tellement qu’on ne pouvait même plus les compter. Ce peuple venait de vivre l’enfer, un enfer dont mon propre peuple à dû subir. Le cœur lourd et triste, je m’avançai dans les débris jusqu’à ce que des animas me bloque le chemin.

- Qui êtes-vous et pourquoi venez-vous ici?
- Je suis Galadrielle, fille adoptive du roi et de la reine des elfes. J’ai reçu une lettre m’indiquant qu’on avait besoin de mon aide…

À cet instant, le petit Niao vint à ma rencontre et me regarda durant un cours instant. Il sourit puis il m’invita à le suivre. Il me conduisit au centre du campement ou des flammes très chaude émanait d’un feu immense. Deux personnes y était assiéger et semblait discuter doucement.

- Attendez moi ici..

Comme convenue, j’attendis. Durant ce temps, le jeune homme se dirigea vers le Shaman pour lui annoncer ma venue.

quatre milliards sept cent vingt million quatre vingt quatre caillou, quatre milliards sept cent vingt million quatre vingt cinq caillou...
Je crois que vous l'aurez compris, je m'ennuyais. Il faut dire, j'étais dans un désert avec Taomi, il n'y avait que du sable à perte de vue. La chaleur me faisais transpiré, je suais à grosse goutte. mes chaussures, rangé dans mon sac. Ma chemise rangé aussi, je pris soin pourtant de mettre des bandage au niveau de mon dos. Le sable brûlait mes pieds. La chaleur m'étouffais, comment pouvait on vivre ici ? Je m'imaginais donc une bonne glace de chez madame macguy... ses glaces aux lait de chèvres et aux framboises... Quelles délices.

Taomi ne parlait pas beaucoup, pourquoi je ne le savais pas. Mais surement qu'elle devait sentir un mauvais présage. Un vent frais vint caresser mon visage, refroidir cette peau noir ébène chauffé à blanc par un soleil mordant. je prie une gourde d'eau à coté de moi. je la portais à ma bouche, puis le doux liquide froid s'engouffra dans ma gorge, cela me faisais un énorme bien. Je me sentais presque revivre. Je portais attention sur Taomi, elle ne bougeait plus. Elle tendis sa main vers son épée fouet, elle le claqua dans les airs, avant de venir tuer un homme habillé de noir.

Je regardais la scène ébahis, tant trop préoccupé par les cailloux, je n'avais pas vu qu'on s'approchais d'un campement...presque détruit. Taomi me dit d'ouvrir les cages au plus vite pendant qu'elle s'occupais de ses deux assaillants. Je couru au plus vite vers les cages. Elles étaient de bonne facture, cela serais dur de les ouvrir, je regardais un peux partout si je ne trouverais pas les clefs, mais je ne vis pas les clefs... Seulement des cadavres de personne, de drows... et de démons. C'est la que je me suis demandé dans quel pétrin m'étais-je encore fourré. C'est vrai qu'après tout, les gens dans la cage ne sautaient pas de joie à mon arrivé.

Enfat de putain ! Va crever sale chien, vous nous avez déjà fais assez souffrir comme cela ! Vous n'êtes pas humain sales monstres de barbares puant !
Je n'écoutais pas vraiment, tapant de mon pommeau de dague contre la serrure du mieux que je pouvais voir... Car les yeux embué de larmes, je ne savais pas trop quoi faire... Je venais les sauvé et eux m'insulté... Comment pouvaient-ils me faire ça. Mais en y réfléchissant bien, ils avaient raison. Je suis un drow et un démon, les pires races... Je n'avais pas ma place ici. D'une montée de rage soudaine, je brisais le cadenas, puis tout les hommes et femme passèrent en me bousculant, m'insultant et me crachant dessus au passage. Je ne disais rien.

Je revenais vers Taomi, le regard à terre, n'osant plus regarder personne, priant pour n'entendre personne. Puis je me pris un cracha sur la figure...encore un homme d'une trentaine d'année qui demandait si J'étais l'esclave de Taomi... Je n'osais pas répondre de moi même, préférant regarder par terre, pleurant toujours de toutes mes larmes. Je regardais Taomi en coin, n'osant pas lui parler. Je la suivis jusqu'au camps, je sentais tout les regards se poser sur moi, relevant le visage, les gens me regardé durement, je les voyaient cacher leurs enfants chez eux, je les entendaient chuchoté, m'injuriant de toute leurs forces. Je me sentais monstre, puis un jeune enfant vint à moi et me fis un grand sourire, je le regardais légèrement choqué, puis il m'offrit un fruit, je ne connaissais pas ce genre de fruit mais je le croquais avidement une superbe sensation se fit sur mon palais, sucré, légèrement acidulé, c'étais comme un feu qui se levé doucement au petit matin, laissant avec une traînée de fumée douce et chaude.

Je lui fit un petit sourire, et le remerciait doucement, je regardais les gens, tous ébahis par cet acte. Ils se chuchoté entre eux des choses et d'autres, surtout pourquoi ? pourquoi est-ce que ce garçon... Niao m'avait parlé et donné un fruit. Étais-je digne de confiance?

Les gens commençaient à venir vers Taomi et moi, commençant à sentir plus à l'aise en ma présence, moi par contre... j'étais horrifié, tout se contact ne me procurais que peur et frustration. Pourquoi m'appréciaient-ils maintenant ? Serais-je devenu une attraction de spectacle ? Mais bon, je commençais à me détendre légèrement, mes mains n'étaient plus blanches, le sang recommençait à partir dans tout mon corps, je m'exposé à quelques regards sur des gens.

C'est alors qu'une personne vint à nous, tout le monde se reculé légèrement, laissant place à cette personne, surement le maire. Il me regarda et ce que je lu dans son regard me fit comme un coup de couteau... Encore une fois je fut détestée... Je baissais le regard. Sentant mes larmes me monter encore au yeux... Mais pourquoi devais-je tant être détesté... Je laissé Taomi et l'homme parler, je me plaçais donc en retrait, et me mis dans mon coin, les gens me regardais. Je portais mon regard au loin du désert et je vis qu'une jeune femme venait, je me demandais bien qui cela pourrait être. Mais bon, je laissais tombé. Le soleil se couchait... Je pris donc plus ample distance avec la foule, et me mit dans un petit coin... Je sortis mon luth. Et je me mis à jouer une Ode à la nuit qui arrivait. Je fermais les yeux... Et je jouais, chantais, je commençais donc à enchanté mon luth pour qu'il joue seul, et je me mis à danser, danser de tout mon être, j'étais seul... les gens ? Je les ignorais, la nuit, je l'acclamais, et ma sérénité ? Elle revenait.