Les Mondes de Shibai
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Les Mondes de Shibai

Haut Dragon , Ange , Démon ....saurez vous imposer votre race et contrôler les Terres Franches ?
 
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 L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria

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MessageSujet: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeDim 27 Jan - 0:05



    L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria 756098FinalFantasyXIII2wallpaperlightning0031920
    Tel le Phénix, je renaît toujours de mes cendres...





Identité(s)

NOM : Yolviing (Ex Alanëm)

PRÉNOM : Mÿneria Emrielle Aurea
SURNOM Le Phénix
ÂGE : 1103ans
SEXE: Féminin

RACE/MONDE D'ORIGINE: Haut Dragon de Fëanaro (A la base de Tindasül mais chut!)

RANG: Ex-Gardienne du Feu (Mort), Seigneur Haut-Dragon
ALIGNEMENT: Neutre, équilibre
MÉTIER: Conseillère Haut-Dragon
BUTE OU QUÊTE: Toujours empreinte de son idéal, elle cherche à poursuivre son ancienne mission de protection et maintien de l'équilibre des Terres Franches. Cependant, se venger du bourreau fait également partie de ses priorités, elle en connait déjà l'identité, cherche à frapper au bon moment.

POSSESSIONS:

Elle a reprit ses affaires au temple:
-l'épée que le grand prêtre lui avait fait cadeau. Son pommeau représente l'oiseau de feu.
-le pendentif en forme de goutte de Shrikan.

Une armure faîte à partir de matériaux haut-dragons. Argentée, elle est marquée par le sceau du phénix.
La bague du seigneur Yolviing.
Des petites dagues forgées chez les haut-dragons.


POUVOIRS:

Contrôle du Feu:

Lorsqu'on fut gardien, il en reste bien souvent des traces. Ce pouvoir là à priori, lui est resté gravé dans l'âme et quoiqu'elle en dise quoiqu'elle en pense, il restera en elle. C'est une maîtrise totale des flammes et des invocations qui en surviennent à sa guise, bien que cela lui soit plus éprouvant qu'auparavant. Fafnir, son ultime phénix, est encore à son service, plus petit, plus faible qu'autrefois mais toujours présent à l'appel! Le feu, s'il ne lui rend plus autant de force, lui sera tout de même revigorant.

Le sang du dragon:

Etant une dragonne à la blanche écaille, elle présente quelques facultés à la guérison. Rien de bien impressionnant, mais les blessures les plus graves réclament son sang. Autant vous prévenir, la demoiselle n'est pas vraiment douée dans ce domaine, elle en connait les bases seulement.

Manipulation des runes:

Les effets sont divers en fonction de la rune. Pour les plus inoffensives, il suffit de tracer dans les airs, pour les invocations les plus délicates, du temps et de la concentration sont de mise jusqu'à nécessiter parfois un traçage à la main dans certains cas. Comme je vous l'ai déjà dit, les effets sont divers: un objet, une transformation (toujours cependant avec un attribut draconien comme des écailles ou des dents plus longues par exemple), des armes, etc... A peu près tout en somme. On ne peut cependant pas invoquer un être physique mais lancer un appel est possible.





A QUOI RESSEMBLES TU?
Toi qui foules ces terres sanglantes




(12 lignes minimum)

Posez votre regard sur elle et dites moi ce que vous voyez. Une jeune femme? Quelle observation perspicace! Si cela est tout ce que vous pouvez déduire, laissez moi donc compléter sa description en détaillant du mieux possible. Pour vous faciliter l’assimilation de ces connaissances visuelles, débutons par le plus évident: son visage. En ovale comme la plupart des femmes quoique légèrement arrondit, il lui semble être d'une banalité profonde quant à sa forme mais les hommes semblent l'apprécier donc, elle n'exprime aucune plainte à ce niveau là, se trouvant même un peu gamine. Au dessus de son nez, son âme siège derrière deux fenêtre à la couleur des cieux, ces deux yeux en amande, dont l'éclat reflète le très haut, sont à l'image de son tempérament de rêveuse. Qui sait? Peut être qu'à force de fixer le ciel, l'iris en imite la beauté?
Passons. Juste en dessous de son cher nez, se trouvent ses lèvres. Celles ci sont délicatement rosée par la nature et pulpeuses de par leurs formes, sinon rien de bien extraordinaire. Et enfin, je finis cette description de son visage par sa chevelure. Ses cheveux...ils sont un simulacre de l'aube, leur éclat est tout aussi doux que l'aurore des beaux jours et la lumière se piège entre les tours et les détours de ses longues boucles attachées, de piteuse manière je dois l'avouer, sur le côté pour qu'elles ne me gênent lorsque souffle le vent. Bien que je préfère laisser le vent décider de leur coiffure, soucis d'esthétique et de praticité l'obligent...

Le reste de son corps désormais...il n'y a pas de quoi épiloguer pendant des lustres. 1103ans dépassés, allant sur ses 1104 à grands pas. De taille, disons, standard (environ1m75), sa tête ne dépasse que rarement ses homologues masculins. Effectivement, elle soit complexée de se rendre compte que la majorité des hommes sont souvent bien plus grand d'une tête ou deux. Donc, elle passe son temps à lever le regard, souvent avec une lueur de défi, une lueur d'audace accompagnée d'amusement qui pourrait lui porter préjudice un jour. Ensuite, elle se trouve être de frêle constitution, avec quelques courbes dites alléchantes, et pourtant, cette fragile apparence cache une ossature plutôt forte de part ma propension à tomber sans jamais me casser un os. Cependant, la peau blanche, cette douce nacre qui recouvre les muscles, qui lui fait office de protection, n'est, quand à elle, pas de la plus grande solidité. En effet, elle passe le plus clair de son temps à s'ouvrir des éraflures un peu partout pour se refermer tout aussi rapidement! Une petite escalade rime souvent avec blessure superficielle, un froid trop mordant également. Du moment que l'ossature résiste...et se tord parfois à ses désirs. Sur son buste, juste au-dessus de la poitrine, se trouve une marque noire, un signe de sa précédente vie, de sa précédente condition. C'est un phénix qui prend son envol d'entre les flammes.

Une dragonne sommeille cependant en elle, blanche comme la neige, des yeux d'un bleu lumineux...au sens littéral. De grandes cornes noires, des griffes de la même couleur, une morphologie typiquement européenne dont les ailes sont à l'image de sa taille: immenses. A vu de nez, elle fait à peu près 26m de haut, pas la taille la plus impressionnante que l'on ai vu chez un haut dragon mais pour les bipèdes d'en bas, cela reste assez impressionnant.



QUELLE PERSONNE ES TU?
Toi semble n'avoir peur de rien




Jeune femme aux airs fragiles, abrite en elle bien des aspects, bien des désirs. Ce n'est pas une de ces personnalités complexes à laquelle maintes plumes aiment s'user, il n'en demeure pas moins qu'il est intéressant de s'arrêter sur son cas. Par quoi commencer? Par où débuter? Prenons le plus flagrant, ce petit air enfantin qui anime son visage, dans son regard est transcrit par un éclat particulier! Bavarde sans trop se dévoiler, rieuse jamais honteuse, elle affronte les prunelles, se moque du sérieux telle une enfant insouciante! Spontanée comme le feu! Dans cette phase là, la demoiselle aimerait connaître le monde entier, sait se montrer curieuse de tout et de n'importe quoi! Du vulgaire clochard rodant dans les ruelles à l'art le plus complexe, de l'ingénierie fabuleuse à la plus simple des babioles, comme si elle redécouvrait tout autour d'elle. Une gamine, purement et simplement. Certains aiment cet aspect, d'autres non et heureusement pour eux, l'enfant cède parfois aux caprices de la maturité.
Ah! Insouciance! Quand tu nous quittes, c'est tout un monde qui s'effondre et qui se reconstruit! Dessous cette enfantine surface se cache un tout autre aspect, plus adulte, plus à même de correspondre au corps de jeune femme que l'inconnu remarque en premier. Prendre des décisions, faire des choix cornéliens, subir les conséquences, elle sait les endurer sans fléchir, sans montrer une quelconque faiblesse même s'il doit peser sur la conscience, et vivre avec. Difficile de croire que quelqu'un d'aussi spontané, d'aussi expressif au naturel puisse cacher une telle face, un tel sang-froid, une telle insensibilité. C'est comme faire affaire avec une étrangère, ou mieux, à un de ces êtres où l'unité n'est qu'apparence du corps sous la gouverne d'un esprit scindé. Mÿneria aime en effet se montrer maîtresse de ses émotions, sachant se taire au bon moment, sachant mordre l'intérieur de ses lèvres lorsqu'il le faut, sachant feindre la passion lorsque le vent est profitable à son camp...compromis, révolution, tout se bouscule dans sa charmante tête. Un mensonge de temps en temps, de quoi uniquement éviter les ennuis inutiles et les dévastateurs conflits qui pourraient lui être néfaste à elle, et à ceux qui dépendent de ses choix! Rare, voir quasiment personne ne peut se vanter de connaître réellement la demoiselle tant celle-ci aime fuir les relations trop intimes...sur le plan relationnel seulement...c'est tout autre sur le plan charnel. Cela tranche avec celle du passé n'est ce pas? Deux facettes qui s'intervertissent à loisirs, presque comme une schizophrène volontaire. Une maîtrise du feu intérieur...contrôler ses pulsions...elle fut entraînée à cela même s'il existe quelques débordements fâcheux avec la face adulte.

Au fond, notre demoiselle n'est rien de plus qu'une rêveuse! Elle se plaît à se remémorer, ou du moins elle essaye, si la majorité de sa vie passée est restée en elle, quelques bribes passent toujours sous silence. Mÿneria se trouve être une jeune femme terriblement absente si l'envie lui prend, comme elle peut se montrer terriblement...présente...ou ailleurs. Spirituellement parlant. Un oeil rivé vers le ciel portant milles rêves, fantaisie, chimère, vision folles machinations, tout se cache dans les cieux! Parfois même d'ailleurs, se mêlant insidieusement entre les nuages, quelques relents d'une vie passée, qu'elle seule observe dans la plus grande incrédulité...sans vraiment comprendre, sans vraiment se souvenir.
De sa bonté peut-être? Sa bonté...eh bien...elle existe quelque part comme un devoir à accomplir. Une promesse de jadis qui revient la hanter. Loyale? Oui. C'est même prédominant, c'est ce qui la maintient d'ailleurs. Si ce n'est pas par loyauté envers la déesse ni par amour de Shibai, pourquoi serait elle restée? Elle garde foi en sa bienfaitrice, avec la conscience d'être certes un pion sur l'échiquier, mais cette foi est une corde à laquelle elle s'est rattachée à sa mort. Qu'on bafoue son nom, et c'est la colère assurée car sans Péléa, il n'y aurait eu de deuxième chance et surtout, pas de mémoire retrouvée. Une volonté propre elle possède, elle n'est pas le petit toutou de la déesse, n'étant plus gardienne, la divinité se retrouve plus dans un rôle de conseillère en cas de coup dur.
Vous l'aurez compris, vous qui lisez ces quelques ligne! Qu'elle se trouve être à la fois la petite gamine qui s'émerveille chaque jour du monde l'entourant et aussi l'adulte incisif, tranché, qui profite tout simplement de la situation donnée. Dur pour vous cependant, de savoir lequel de ces deux aspects prédominants chez elle, vous allez devoir affronter.


RACONTE MOI TON HISTOIRE?
Que je sache mieux qui tu es






Environ 2ans après le Barrage des Anouatis

Une aube, une semblable à bien d'autres malgré le fait indéniable qu'elle fut bien plus sombre qu'à l'accoutumée. Pourquoi? Parce que le soleil n'osait paraître, caché dés le levé par son âme soeur la Lune. Un vent léger balayait les cendres du volcan, sa fumée s'étirait au loin dans une colonne éternelle. Il s'agitait, mécontent, l'air chaud sous pression passant dans certains couloirs résonnait sur des kilomètres sous la forme d'étranges et mélancoliques mélopées. Bien qu’étant fortes au point de mettre en ébullition chaque être du temple, il y en avait bien un pour qui cela n'était guère gênant. Qui donc? La Gardienne du Feu assurément! Elle était si sereine, douce créature au sommeil paisible, qu'il était bon de trouver une conscience tranquille en ces lieux perturbés. A bord de sa diligence céleste, cette dernière terminait son voyage recouverte de la tête aux pieds de sa couverture rouge et, dans le plus grand respect, les moines se précipitèrent à l'entrée du temple afin de saluer, accueillir comme il se doit leur héroïne à son arrivée triomphale. Au passage de son lit d'ailleurs, chacun eu le réflexe de s'écarter, courbant l'échine sur l'enfant qui dormait. Lorsqu'elle remonta enfin la longue allée de moines, les portes s'ouvrirent sur un Grand Prêtre essoufflé par une foulée rapide à laquelle les personnes âgées ne sont plus guère habituées et, chose remarquable, il était pleinement éveillé à une pareille heure spécialement à l'occasion de ces émouvantes retrouvailles! Quel être attentionné! Sans prononcer un seul mot, il souleva délicatement la couverture afin d'apercevoir le fameux visage endormit. Une larme se refusait à couler sur ce visage aigri par les années et par l'expérience mais l'émotion était là, nichée dans le fond de ses yeux. Ce visage...ce visage aussi blanc que la neige et qui avait sa fraîcheur, dont le céleste iris fixait les hauts cieux avec la neutralité la plus terrible et la plus vide qui soit. La lumière avait beau frapper ses pupilles, pas un éclat qui ne montra une preuve de vie au grand désespoir de tout ceux présents...mais l'évidence, aussi dure était elle, ne pouvait être plus longtemps reniée.

La Gardienne du Feu les avaient bel et bien quitté.

Dans un geste plein de tendresse, il ferma pour elle ses paupières encore ouvertes. Personne auparavant ne s'était risqué à le faire, comme s'ils avaient eu affaire à quelque chose de sacré, d'intouchable. Il soupira, déclara:

-Puisse tu veiller sur elle Shiva. Puisse tu veiller sur elle...

Et elle rentra enfin chez elle, suivie de près par le funeste cortège endeuilli de moines et le regard mouvant des fresques ainsi que de Kro'Gar, la créature qui testa ses capacités. Que de souvenirs merveilleux malgré ce laps de temps! Et tous partageaient ce ressentit, ravivant des souvenirs de dispute, de réconciliation entrecoupées d'autres cris plus grands encore auquel s'ajoutaient des fous rire, des confidences et des paroles amicales. On aurait put croire que sa présence ne marqua pas les lieux, personne n'aurait cru que sa perte provoquerait un tel chagrin au sein de leurs coeurs endurcis mais quoi que l'on en dise, la perte d'un Gardien est toujours un évènement effroyable aux consciences qui leurs survivent. Non pas tant par le prestige, mais plutôt par l'affection, ce à quoi les étrangers ne pouvaient prétendre. C'était comme perdre un proche pour certains, pour d'autres un modèle, un ami, mais chacun avait son mot à dire sur la Gardienne. Une fois ses blessures cachées -et elles étaient forts nombreuses- sa beauté restaurée par quelques artifices, on exposa son corps et alors chacun put présenter ses hommages, la majorité du temps par simple une inclinaison respectueuse, voir même en versant une larme, certains moines étant particulièrement émotifs.

-Garde bien son âme Péléa! Déclaraient ils la majorité du temps, dans une voix sonnant à demi-ton.

Pendant ce temps, au saint royaume de la grande déesse, une âme regardait patiemment ses propres obsèques avec la plus grande attention, avec le plus grand silence, au travers d'une flamme blanche éthérée. Non loin d'elle, une autre créature féminine. Celle-ci se caractérisait non seulement par un visage à la beauté surnaturelle, mais aussi par une chevelure flamboyante -littéralement flamboyante. Péléa de son nom, déesse du Feu solaire, celle-ci préparait tranquillement son thé tout en prenant le temps de jeter quelques coups d'oeil vers son invitée.

-Tu es sûre que tu ne veux rien boire? Même pas une tasse de thé? Dit la Déesse. C'est des feuilles de la part de Gaïa, tu verras c'est divin! Péléa prit place à ses côtés, fit couler le torrent pourpre de saveur dans un verre à la forme élémentaire, Cela me gênerait que tu reste l'estomac vide, même si à proprement parler, tu n'as plus d'estomac.
-Non, non merci.
-Prends-en au moins une tasse. Insista t-elle.
-D'accord. Très bien... Elle enchaîna, C'est étrange, je me sens comme choquée à l'idée que cette fois-ci, contrairement à mes dernières visites, je n'ai plus de corps à regagner et que probablement, je ne les reverrais plus jamais.
Dans la fougue éternelle du feu, une procession avait lieu et se déroulait là, sous leurs yeux.
-Je vous ai déçue n'est-ce pas? Lâcha t-elle soudainement. Mourir aussi bêtement, cela mériterais presque d'entrer dans les annales mais j'avoue que pour la légende, ce n'est guère glorieux.

La question semblait importante , voir vitale et ce, même si le domaine de la vie en général n'appartenait désormais qu'au passé.

-Non. J'ai été satisfaite de tes services. Il est vrai que la durée fut relativement courte comparé à ton prédécesseur. Ne va pas croire que tu fus inefficace, loin de là. Je puis, grâce à toi me vanter auprès des autres dieux d'avoir eu une Reine coriace en cette génération éphémère. Il faut avouer que la chance n'était pas de votre côté avec cette guerre..et que la dernière mission, force est de l'admettre qu'elle était suicidaire pour une novice. Elle croqua un biscuit.
-Je suppose que c'est un compliment. Étrangement tourné, certes, mais une louange tout de même. Une gorgée. C'est idiot tout de même...

Silence. La désormais ex-gardienne se remémorait ses derniers instants, la mélancolie dans l'âme. Une bande de renégats, ces rebuts de la société haut-dragon, avaient trouvé refuge en une dimension secondaire. Après des mois de traque, elle avait réussit à les dénicher et à exterminer ceux des autres dimensions, ils étaient donc les derniers mais hélas, eux aussi s'étaient préparés à la venue de la gardienne. Elle s'était battue comme jamais contre des adversaires coriaces, elle en avait fait appel à ses invocations et même à Fafnir qui intervenait pour la deuxième fois depuis l'apprentissage. Mais cela n'était pas suffisant, ils se relevaient à chaque fois, toujours plus amochés mais en vie. Allait-elle finalement y arriver? C'était ce qu'elle pensait! Et elle avait tort. Afin de parvenir à ses fins, elle dut en venir à l'ultime solution: la fusion totale. Epée divine en main, la gardienne rayonnait tel un soleil et sa chaleur s'en rapprochait. De grandes ailes digne d'un phénix remplacèrent les membranes habituelles. Son visage se couvrait d'une matière semblable à la lave et le métal en se figeant, prit forme d'une tête d'oiseau. On lui murmurait à l'esprit: tue les tous. Qui était-ce? Nul autre que l'épée des gardiens qui parlait pour la première fois à sa détentrice, inutile de préciser qu'elle prit soin de faire de cette rencontre, un joyeux petit massacre. Sous cette forme, elle se sentait grisée par une sensation d'invulnérabilité et devait l'être sans doute. En la voyant ainsi, les renégats se sentirent impuissant, terriblement frêles face à la déferlante enflammée. Puis, une fois la tâche accomplie, cette force grisante s'envola soudainement pour laisser place à une terrible fatigue. Le monstre sanguinaire disparut, laissant place à une humaine au centre d'un champs noir ; son corps gisait sur la terre brûlée et, à la seule force de ses bras, Mÿneria tenta de se diriger vers la brèche dimensionnelle tout en douceur, mètres après mètres. Alors qu'elle s'apprêtait à le franchir dans la douleur, quelque chose l'attrapa violemment et la souleva d'une seule poigne. Un rescapé sous forme dragon, un être aux écailles de sang. Elle, résignée, se laissait prendre, usée, incapable de tout mouvement et regardait les yeux rouges de la créature. Il la jeta à terre, satisfait d'avoir à sa merci la fameuse Gardienne du Feu. Quant à Mÿneria, on eu put lire sur son visage un voile de profonde déception.

-J'ai toujours su que tu étais un lâche... Finit-elle dans un murmure ponctué d'un rictus pour ne pas dévoiler sa surprise. Elle avait reconnu son bourreau, Del... Prit d'un accès de fureur, le haut-dragon planta son immense griffe au coeur de l'humanoïde. Un cri déchirant survint, un cri de douleur qui s'affaiblit dans un râle et se tut, définitivement.

Mÿneria n'était plus.

Le meurtrier, prit d’attendrissement malsain, transporta le corps jusqu'à Shibai mais son âme, chez Péléa avait déjà trouvé refuge.

-Hey! Youhou! Réveille toi! Péléa claqua des doigts juste devant son nez.
-Oui?
-Il va te falloir un nouveau corps! Dit elle en se levant brusquement.
-Mais...je suis morte...
-C'est bien ce que je te dis! Il va te falloir un nouveau corps! Tu m'écoutes un peu? Elle se dirigea vers le feu, Sache que la mort n'est pas la fin de toute chose. Lui doit le savoir! Dit-elle en pointant Shamba du doigt.

Elles attendirent patiemment que les funérailles prirent fin, puis, avec l'aide de son époux, Péléa prépara une nouvelle enveloppe pour sa protégée. Une fois le corps enfilé -façon de parler- la déesse parla vaguement réinsertion, arguant qu'elle s'occuperait de tout en temps voulue, qu'elle devait lui faire confiance comme toujours. Mÿneria laissa faire, elle n'avait guère le choix de toute manière! Des aux revoir échangés et non des adieux, une déesse du foyer et du feu ne laisse partir ses gardiens aussi facilement. Survint alors la chute d'une étoile dans les haut-cieux de Qwënya, se matérialisant sous la forme d'une jeune femme à son contact terrestre et hagarde, la demoiselle s'éveilla sur Fëanaro. Sitôt fait, le Soleil revint dans l'univers haut-dragon, un petit détail que les moines du temple prirent pour un signe du destin. L'avenue d'un nouveau Gardien ou la renaissance de Mÿneria? On ne le sut sur l'instant et ils n'en surent pas plus par la suite.
A son insu, la déesse prit soin de s’immiscer parmi de fidèles seigneurs à la descendance douteuse, déclarant sans plus de détours que la demoiselle marquée de son sceau serait celle qui mériterait leur attention plutôt que leurs enfants, ces parasites à la bassesse innommable. Ils lancèrent évidemment des recherches aux quatre coins de Qwënya, par crainte des représailles ou autre malédiction divine. Et alors qu'ils allaient abandonner la quête, jugée trop difficile, un phénix apparut alors au seigneur. Prit pour un signe du destin, il le suivit sans se poser de questions, sans même chercher à comprendre, avant de tomber, évidement, sur celle qu'ils recherchaient depuis quelques mois déjà. Seulement, la demoiselle ne semblait guère enthousiaste par l'idée. Bien sûr qu'au final, elle accepta de se laisser emmener mais ce ne fut pas sans une certaine persuasion ainsi qu'une...petite inspection, vous savez, histoire de savoir si la marque se trouvait bien là. Ils la trouvèrent rapidement, l'emblème de Péléa siégeait triomphalement au-dessus de sa poitrine, prouvant qu'elle était bien la jeune femme recherchée. La marque semblait incomplète cependant, une simple sphère entouré par de petites flammes.

La première entrevue. L'une était debout en face d'une fenêtre, l'autre restait assit dans son fauteuil. L'architecture avait été pensée de façon à ce que l'astre entrait à toute heure de la journée, l'enfant s'en trouvait éblouit par le couché du soleil.

-Reprenons nos présentation. Je me nomme Altaïr de Yolviing. Votre nom, jeune fille?
-Je l'ignore.
Il murmura:

-La divine omit de le prononcer. Silence puis, une longue respiration avant d'annoncer bien haut, Soit! Jeune demoiselle, vous porterez le nom de Mÿneria, un nom honorable.-Mÿneria? La voix marquée par l'incrédulité. Elle ferma les yeux, quelque chose tracassait la petite, quelque chose qu'elle ne savait, qu'elle ne pouvait saisir réellement. Cependant, il fallait s'en accommoder. En attendant, elle serra la main tendue, À vous désormais, je m'en remet.

Ils continuèrent à parler de choses plus ou moins pertinentes. Dés le lendemain, sa formation de seigneur commençait. On lui enseigna tout ce qu'elle devait savoir, même si la formation fut, avouons le, éclair. Le gros de l'éducation était déjà présente, presque de manière innée et les lacunes furent comblées avec de nouvelles connaissances. Rendez-vous bientôt chez les meilleurs tailleurs de l'île afin de créer son blason, restait à définir son blason. Qu'est ce qui pouvait mieux lui correspondre que le phénix qui la conduisit en ces lieux?



3 ans après le Barrage des Anouatis


Toute la maisonnée était en effervescence au fur et à mesure que le Solstice approchait. Nul n'aurait manqué cet évènement pour rien au monde sur l'île de Fëanaro! La raison était toute simple, ce jour était placé sous le signe de Péléa à l'entrée de la belle saison. Après maintes festivités, il était grand temps de se recueillir auprès de l'immense statue du temple du Feu. Avec sa petite famille et la nouvelle venue, les Yolviings s'y rendirent bien évidemment tant l'importance de l'évènement. Vêtue dans les plus beaux atours, la jeune Mÿneria présentait quelques difficultés à pénétrer les lieux, groggy, elle marchait aussi bien qu'elle le pouvait même si personne n'était dupe quant à son état au point que son frère d'adoption dut lui prêter un bras sur lequel s'appuyer. Que se passait-il? Au delà d'une première sensation de déjà-vu désagréable, elle en était arrivée à voir son esprit tourmenté par des visions, par des voix lointaines, presque des hallucinations. D'ailleurs, en passant devant le Grand Prêtre, tandis que le reste de la famille s'était contentée d'une habituelle inclinaison d'usage, elle, s'était sentie forcée de faire ses salutations... en rajoutant quelques formules propres à l'ancienne gardienne derrière. A cet instant, le temps sembla se figer. Elle était pourtant toute souriante la malheureuse, un air surprit d'innocent se dessina sur son visage en croisant tout ces regards outrés. Le premier concerné semblait de prime abord aussi stupéfait qu'offensé, puis seulement lorsqu'elle fut entraînée dehors subir les remontrances, il se laissa aller à la confusion. Une seule personne se permettait de le nommer ainsi, une seule, mais cette personne était morte, la paupière close dans la crypte.

-Et si...?

Sa curiosité était piquée, mais pas que la sienne, tout ceux au parfum également. Tous regardaient l'impertinente s'éloigner au loin, disputée, inutile de dire qu'elle entendit le reste à l'arrivée. Peu de temps après, on convoqua la demoiselle au temple sous un prétexte quelconque comme celui de présenter des excuse, ce qu'elle n'avait eu le temps de faire auparavant. Revenue au temple accompagné du seigneur, les visions revinrent aussitôt.

-Alors?
-Je vous prie de m'excuser, vénérable Grand Prêtre. J'ignore ce qu'il m'a prit de vous parler de la sorte.
-Bien. Blanc. Puis-je, Seigneur Altaïr, parler à votre fille en privée?
-Certainement Grand Prêtre. Il murmura à l'attention de la demoiselle, Ne me fais pas honte cette fois-ci.

Elle hocha la tête en signe de réponse. Il l’emmena dans une petite salle, tourna autour d'elle à plusieurs reprises, fixa le blanc de ses yeux de longues secondes avant de demander:

-Que vous est il passé par la tête pour m'appeler vieux chnoque?
Voyant qu'elle ne comprenait pas réellement la question, du moins, paraissait ne pas comprendre, il la reposa une deuxième fois.
-Je l'ignore. C'est venu tout seul...Vous croyez vraiment que j'appelle tout le monde ainsi, vieux fou? Elle s'empêcha de parler, Je vous prie une nouvelle fois de m'excuser.
-Je vois... Nouveau silence, D'où venez vous mademoiselle?
-Ça aussi je l'ignore. Cela fait tout juste un an que je suis arrivée chez les Yolviings vous savez, je me suis juste réveillée un beau matin. Que ce soit de mon enfance ou de ma vie en général...rien n'est gravé en moi.
-Je vois...avez vous une quelconque trace?
-Non...enfin oui...mais bon...juste quelque chose là. Elle tira légèrement sa robe de façon à ce qu'une part de la marque apparaisse. Si l'étonnement disparut rapidement, il laissa place à un nouvelle vérification. Très simple, cela consistait en phrase en vieux dragonique, susurrée à l'attention du tatouage lequel réagit par une légère illumination rougeâtre. Elle se développa un peu, du cercle dormant au centre des flammes surgissait désormais deux petites ailes. Il écarquilla les yeux, ses doutes étaient levés, confirmés. "Respirez profondément et détendez vous." Qu'il disait. Il avait si prompt qu'elle n'eu réellement le temps d'y songer ni de réagir, qu'une voix s'insinua dans son esprit, une image dans laquelle elle voyait une âme en charmante compagnie.

-Il est d'usage de retirer les souvenirs à ceux qui se soumettent à la réincarnation tu sais M...... .
-Mais je ne veux pas oublier! Non, je ne vais plus savoir son visage et comment pourrais-je me venger si je ne sais pas contre qui je dois me battre? Elle faisait les cents pas. Il est plus ignoble encore que je ne le pensais, j'ose à peine croire que nous ayons le même sang! Un déshonneur, une honte! Qu'il marche avec Zaleth ne m'étonnerais guère! C'est un fourbe! Un opportuniste de première! Si j'étais encore vivante, j'en brûlerais de rage!
-Tu es bien en flamme rassure toi. Je te demande simplement de voir les choses sous un autre angle. N'est ce pas toi qui a réclamé l'oubli après la guerre? la déesse restait calmement assise.
-L'émotion, juste de l'émotion non canalisée qui me faisait un peu perdre la tête. Les choses sont différentes désormais...Elle prit place aux côtés de la divinité, Et il y a cette mission que vous me confiâtes il y a trois ans et qui me laisse un goût amer d'échec.
-Je vois. Tant de raisons qui t’amène à croire que tu ne peux revivre sans mémoire...
-Comment pourrais-je connaître ma tâche si je l'oubliais?
-Ecoute moi. Même en redescendant sur terre avec tes souvenirs, impulsive comme tu es devenue, tu n'hésiteras pas à foncer tête baissée pour revenir ici. De plus, je te rappel que tu ne regagne pas ton corps habituel, par conséquent, tu ressors d'ici grandement affaiblie. Ton âme a besoin d'un nouveau réceptacle, et ce réceptacle aura besoin d'un certain temps pour regagner une partie de ce que tu as perdu. Tu comprends ce que je veux dire?
-Oui. Je crois avoir saisis le concept. Soit, mais je ne vois pas vraiment ce que nous pouvons faire...
-Allons allons M......! Je m'occupe de tout! Tu récupéras ce qu'il t'appartiens en temps voulu! Ton esprit te feras signe et seulement à cet instant là, tu pourras reprendre là mission que je t'ai confiée. Et te venger bien évidemment!
-Bien, je vous fait confiance.

La vision s'estompe dans un écho lointain. Mÿneria sursauta en voyant le grand prêtre juste devant son nez, la reluquant attentivement.

-Alors?
-C'était...un rêve?

Encore perturbée, une nouvelle voix intervient dans son esprit. Une voix féminine qui lui semblait si familière et pourtant inconnue. Elle cru d'abord à un murmure perdu entre les murs, avant de sourciller à la vue de l'imposante déesse dorée. "Approche...approche..." ce mot était sans cesse répété, amplifié mais toujours susurré à son oreille. Aussi saugrenue que cela pouvait paraître, de la bouche de la divinité factice semblait provenir ces paroles alors elle obtempéra sans discuter, sans même en avertir l'ancien de plus en plus enthousiaste. Elle s'approcha de la statue, et, du bout de ses doigts tremblants elle en frôla la surface dorée. Et à peine avait elle apposée sa paume sur le métal glacé, que sa marque s'illumina, le phénix s'épanouit complètement "Tu peux te souvenir maintenant! Reviens d'entre les morts, Mÿneria!" Alors des flots de souvenirs envahirent sa mémoire, elle tint sa tête entre des mains le temps que tout revienne à sa place. Lorsqu'enfin ce fut finit, le Grand Prêtre, souriant, demanda alors:

-Qui êtes vous?
-Je suis...je suis...Mÿneria. Mÿneria ancienne Alanëm, nouvelle Yolviing, ancienne Gardienne du Feu et championne de Péléa. J'étais morte, me voilà revenue à la vie. Prête à poursuivre mon ancienne mission. Elle se retourna, L'ancien! Je ne pensais pas vous revoir aussi vite!
-Moi de même Mÿneria. Moi de même...
-Bien, bien. Je suis restée endormie trop longtemps! L'heure est à l'action! Dites, avez vous conservé mes affaires?
-Evidemment.

Elle reprit alors, tout ce qui lui avait jadis appartenu. Son épée, ses reliques, tout ce qui constituait son identité fut rendu jusqu'au pendentif de l'eau. Vêtue de son armure, elle rejoignit l'entrée du temple, son "père" l'y entendait patiemment. La surprise pour seule réaction, le sentiment de gloire en plus, l'explication fut brève mais précise et efficace. Elle ouvrit un portail dans les cieux, prit son envol vers les terres franches sur lesquelles un gardien avait encore de grandes choses à accomplir et ce, même dans la mort. Des mois s'écoulèrent ainsi, elle revint sur Fëanaro après avoir reçu la lettre qui lui fit une grande peine. En effet, dans l'ombre des murs, la où le soleil n'avait d'emprise, mourut en secret le seigneur Altaïr. Victime d'une bassesse, victime d'un meurtre, l'indignation en son coeur réclamait vengeance pour cet homme qui fut durant un temps, sa seule figure amicale au monde. A la lecture du testament, on découvrit à qui le noble désigna comme successeur. Aucune surprise cette fois-ci, Mÿneria était toute choisie et cela n'avait rien de secret quand on connait les enfants du défunt seigneur. Une fille aînée aurait put hériter de la maison si un accident avec les renégats n'avait survenu lors d'une visite sur les terres Franches et si son fils n'était pas soumit à la débauche, le choix de la fille adoptive s'expliquait rapidement. Avec le coeur lourd, elle devenait Dame, représentante des Yolviings on sein du conseil haut-dragon dans lequel feu Alraïr avait un siège. Cette position était des plus avantageuse, mais elle semblait bien plus noble et bien plus légère lorsqu'elle n'est point marquée par le sang du prédécesseur. Ainsi, elle est partagée entre deux mondes, celui des haut-dragons et les Terres Franches. Patiente, elle cherche à se renforcer avant de brandir le fer contre son bourreau, contre les dangers des basses terres ainsi que pour la vengeance d'un père.


Animal: Un phénix ordinaire, celui qui répondit à l'appel de Péléa et qui servit de guide à Altaïr Yolviing. Nommé Boutdfeu, il reste souvent chez elle à Fëanaro. Il lui sert de messager en général.



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Dernière édition par Mÿneria le Mar 26 Fév - 21:30, édité 28 fois
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Trelandil S'altus

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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeDim 27 Jan - 2:34

*high five* bienvenue au club des ava de final fantasy xD
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeMer 30 Jan - 14:11

Juste un petit détails, étant ex gardienne pour tes pouvoirs, tu peux avoir encore ceux de gardiennes mais en beaucoup plus faible. Voilaaaaa bonne continuation.!!
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeMar 26 Fév - 21:33

Finit! ^^
Bon, j'ai un peu (beaucoup) bâclé la fin de la partie histoire. Héhéhé...
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeSam 2 Mar - 17:57

... suspence!!!! Validé tin tintin tintintint tintin tin tintin
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeSam 2 Mar - 18:27

Tu as encore oubliée de déplacer x)
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitimeDim 3 Mar - 21:20

nan c'est ton taf ♥
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MessageSujet: Re: L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria   L'oiseau de feu ne meurt jamais...Mÿneria Icon_minitime

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