Une promenade (rp test)

Doubhée l'assassine venait de ressortir des vagues toute visqueuse de son corps de poisson. Elle se traîna tant bien que mal sur le sable et avec comme accessoires sur elle, son instrument de musique fétiche et ses armes toujours sur le dos. La jeune sirène de dix huit ans se rendit à sa pierre, là où elle se fessait toujours sécher les écailles pour reprendre sa forme d'humaine qui à l'aire d'une vampire ou pire encore, d'une humaine morte. Après un quart d'heure, elle fut complètement transformée, Doubhée sauta sur le sable chancelante et repris son entraînement. Elle fit des exercices de musculation, de la course sur place et des étirements. Par la suite elle se dirigea vers la forêt vers son repère sur la terre ferme et amassa son manteau d'assassin. Elle avait un important rendez-vous pour une autre mission. Rendu sur les lieux, elle mit sa capuche sur la tête pour cacher son visage. Et y attendait son contact. L'homme arriva peu de temps après avec une heure de retard. Doubhée se leva et se redressa pour se faire plus imposante.

-Vous êtes en retard, dit-elle d'une voix qui se voulait grave.

Il y avait deux hommes, l'un était effrayant et l'autre un simple soldat avec un glaive. Le premier s’appelait Forra et il avait un espèce de rictus de victorieux qui l'agaça plus que tout. Elle en éprouva de la frayeur comme la première fois qu'elle l'avait rencontrée. Le second devait lui servir d'escorte et de protection. Le second homme parla le premier.

-Ce fut difficile à trouver.

-C'est bien pour cela que j'ai choisi cet endroit précis.

-Maintenant retiré votre capuche et montré votre visage.

-Non, ne pas montré mon visage fait parti de mon métier.

L'homme voulu insisté mais Forra lui mit la main sur l'épaule. Pour l'incité au calme.

-Il me semble que nous somme tous un peu nerveux ici. Fit Forra

- C'est parce que mon contact ne m'a pas beaucoup parlé du travail à accomplir.

Forra, l'homme aux traits grossier reprit la parole et expliqua se qu'il attendait d'elle.

- Le travail est simple, pour une personne avec une réputation tel que vous. Le travail est délicat, je veux que tu assassine une personne importante, il s'agit de Thénor.

Thénor ! Ce n'était pas n'importe qui, c'était un haut dirigeant qui agis comme un despotes sur une partie du royaume en relevant des taxes faramineuse.

-Il met des battons dans les roues de notre bon roi et il doit disparaître, si tu accepte tout de suite, tu recevra deux cents pièce d'or maintenant et pour le reste se sera 200 millions. Je veut que tu le fasse discrètement et que tu ne sois pas repéré. Tu recevras le reste si tout se déroule bien.

Doubhée se mit à réfléchir. C'était une somme faramineuse et avec cette somme elle pourrait arrêter de travailler et s'amuser comme une vrai sirène. Forra la pressa.

-Ça va, dit-elle.
-Alors, c'est oui ? la pressa Forra.
-Tout à fait. Quand est-ce que j'aurais mon argent ?
-Demain à la même heure. Ici même.

Doubhée s'apprêtait à partir lorsque la voix de Forra retentit.
-Fait en sorte de ne pas trahir la confiance que nous mettons en toi.
Le jeune fille se figea.

-Si vous connaissez vraiment ma réputation, je n'ai pas besoin de vous répondre, fit-elle sans se retournée.

La journée même la jeune Doubhée partit vers l'endroit où vit sa cible. L'homme avait une grosse maison. Elle commença les exploration, mais une fille de son look comme ça passait difficilement inaperçu. Elle dut recouvrir à des sort qui modifie l'aspect de ses yeux et de son teint ''cadavérique''. Elle commença à explorer les lieux. Se fit même amie avec une des servante en se fessant passé pour une servante d'un autre noble. Cette fille s'appelait Ondine. Elles se plaignirent que leur maître de maison étaient des despotes et qu'il leur menèrent la vie dur. Une semaine passa après son enquête, et c'était se qu'elle adorait le plus, le vol ou le meurtre était en sommes de simples formalité. Doubhée agit à la huitième nuit, elle sauta sur le toit en passant par le balcon. Elle refit l'escalade pour atterrir sur la maison. Elle se glissa par la cheminée. En descendant, elle s'égratignait les épaule. Arrivant à l'ouverture, elle jeta un coup d'oeuil et elle ne vit personne. Très bien, elle arriva sur les mains en premier et fit descendre ses jambes flexible. En marchant de son pas léger de chat sans aucun bruit, elle trouva la chambre du maître mais il y avait un garde. Elle se glissa subtilement dans l'ombre et attendit que le garde reprenne sa ronde et l'égorgea par derrière. Elle l'attrapa pour ne pas qu'il tombe et le déposa délicatement au sol. Elle entra dans la pièce et vit sa cible. Toujours sa dague à la main, elle l'égorgea, il mourut sans une plainte.

De l'autre coter de la porte, un autre garde vit son compagnon affaler sur le sol. Il se mit à sonner l'alerte.

- ALERTE ! UN INTRUS ! VITE ALLER DANS LA CHAMBRE DU MAÎTRE !

''Damnation ! " pensa Doubhée

Elle se précipita rapidement vers la fenêtre, et l'ouvrit pour se mettre sur le bord. Au moment qu'elle quittait la fenêtre, un garde pénétra dans la chambre et fit son pied au dernier moment.

- AU MEURTRE ! LE MAÎTRE À ÉTÉ ASSASSINÉ !

Les autres gardes arriva dans la chambre tous armés d'arbalète et sortirent dehors pour attraper Doubhée. Elle sauta au sol et se blessa aux jambes. Elle se mit à courir vers la sortie du jardin. Elle fut touchée par une flèche à la jambe et disparut à travers la forêt. Arrivant à sa caverne et s'effondra au sol essoufflée. Elle vit avec horreur la flèche qui était fichée dans sa cuise et le sang bleu. Elle cassa le bout de la flèche qui dépassa et tira de toute ses forces, qu'elle réussi a s'extirpa de toute ses force en sueur. Elle s'endormit pour reprendre des forces et se guérir plus tard. Lorsqu'elle se réveilla, elle avait un affreux mal à la jambe qui l’élançait violemment. Elle fit apparaître une genre de bulle d'eau à partir de l'humidité d'en l'air et se concentra pour ne pas transformé sa peau humaine. Se fut difficile et douloureux mais le résultat fut long et pénible. Lorsqu'elle termina son opération elle était éreintée. Elle se rendormis. Le lendemain, elle devait retourner dans la forêt pour dire à Forra que son travail était terminé. L'homme fut déçu.

- Nous avions confiance en toi. Et tu n'as pas respecter ta part de marché.

-J'ai fait se que vous m'aviez demander, explosa t-elle.

-Tu avais dit que tu était discrète, maintenant tu as été vue. L'homme aurait du être découvert le plus tard que possible. (L'homme lui lança un sac à demi remplir) Tu aura rien que ceci.

-Mais...c'est moi qu'ils vont pour chassez,....comme toujours.

-Les personnes de son entourage savent qui avait intérêt de son meurtre ! Maintenant va !

Doubhée dû faire bon cœur mauvaise fortune, car elle avait en plus risquée sa vie et n'avait qu'empocher que 200 autres pièces d'or, le quarts environ de se qu'elle aurait du avoir. Elle retourna à sa source favorite d'eau froide et salée et se baigna toute la journée en maugréant contre elle même et ses foutus hommes qu'elle méprisait.

Lania

Furtivement j'avançais dans ces lieux, tout le monde semblais hystérique, je devais agir vite, et furtivement, personne ne me voyais, pour le moment je devais tuer celui qui avais commis ce meurtre, une jeune femme non loin de moi l'avait fais, mais j'étais une assassin, et je savais qu'elle était payée, et qu'elle n'allais pas tarder à rejoindre son employeurs.
Je le vis se débattre face au gardes, il la touchèrent au jambe, due à ma grande souplesse la chute fut moins difficile pour moi, j’atterris aisément sur la pointe des pieds, mes mains entre mes jambes, je me relevais et suivait la jeune femme en marchant, de loin.

Je la vis s’arrêter dans une grotte et y passer la nuit, je ne savais pas vraiment ce qu'elle faisait et je m'en fichais, c'est la tête de son patron que je voulais, pour 2000 pièces d'or je ne pouvais dire non, je pourrai peut être augmenter le prix si je vidais ses poches.
Le lendemain, un homme arriva, et la jeune femme vint à sa rencontre, elle avait quelque chose de changer, mais je l'avais veillée toute la nuit, j'étais donc sur que c'étais elle, elle n'avais pas bougée.

Je montais en hauteur, j'étais désormais au dessus de l'homme, il donnais l'argent qu'il devais à son assassin, quelle somme médiocre il ne devais pas y avoir plus de 200 pièce d'or, pour un assassinat, qui plus est pour l'assassinat d'un roi, je me laissait tomber juste derrière l'homme, pour le moment il ne m'avais pas entendu, il sentais juste mon aiguille empoisonnée dans son cou.

Il fit volte face et me regarda dans les yeux, j'aimais ce regard, ce regard suppliant de le laisser vivre, les dernières minutes de sa vie affichée dans ses yeux, je le vis s'étaler à mes pieds, je vidais ses poches et remontais dans l'arbre avant de me faire vois par la tueuse.
Elle ne m'avait surement pas vu, mais elle avais du entendre le dernier rhaal de son maître avant sa mort.

Doubhée était entrain de se baignée, dans son petit lac favoris. Le petit lac avait l'eau de couleur noir à cause des pierres qui l'entouraient. noir comme de la poix, ce qui le rendait effrayant mais pour Doubhée elle appréciait cette attitude d'être relaxante et d'éloignée les gens. Elle avait entendu un peu et savait que Forra passerait par ici pour retournez à la ville ce qui ferait qu'elle ne manquerais pas de le croiser. Mais après un bref moment, elle ne le vit nul part et entendu un bruit sourd s'effondrer au sol. Son instinct de tueuse lui dit qu'il y avait eu un danger, cet instinct ne l'avait pas trompé au début de sa mission, elle c'était sentit suivit mais avait cru que c'était la flèche qui la mettait en danger. Elle maugréa intérieurement, sortit du petit lac noir et retourna aux lieux du précédent rendez-vous. Pour se faire, elle fit un gros effort pour réussir à se remettre en sirène rapidement se qui eut pour effet de l'épuisée, mais elle avait encore de l'énergie. Elle se mit à courir. La jeune voleuse de 18 ans arriva sur les lieux et y vit Forra étendu au sol, mort. De ses yeux experte, elle examina le corps et arriva au cou, elle y trouver une aiguille, elle la retira et y toucha la texture, du poison. Elle y perdit son sourire. Une technique pour les débutant assassin mais pour Doubhée, elle adorait aussi cette technique.

''Ai-je été suivit ? Damnation ! ''se dit-elle.

Elle se mit à pister la rivale, sur son propre territoire, et remarqua seulement ces traces à elle. Donc elle avait du utiliser les arbres pour se déplacer.

''Un vrai assassin, non un débutant'' dut-elle admettre.

Mais cette forêt, elle la connaissait comme sa poche, elle grimpa à son tour à l'arbre et commença à pister cette potentielle rivale, qui lui avait fait perdre ses contrat. Elle finit par l'apercevoir au loin. Elle accéléra le plus possible, sa blessure n'était pas totalement guérit, elle en ressentait encore de la douleur et les sauts d'arbres en arbres n'étant pas son fort puisqu'elle était sirène de sang. Doubhée sortit un couteau à lancé de son manteau et la lança dans sa direction mais en arrivant au dessus de son épaule sans la touché pour se ficher dans l'arbre derrière, comme ça elle attirerait certainement son attention. Elle descendit de l'arbre et l’appela.

-Hey toi ! Descend de là ! J'ai à parler ! Pourquoi tu as tué Forra ! Doubhée c'était mise en position défensive au cas ou elle ne serait pas aussi bavarde qu'elle. Je sais que tu est une assassine ! Mais tu est sur MON territoire et je ne te permettrait pas de me mettre des bâtons dans les roues. Alors, je te somme de m'expliquer ou tu goûtera au métal de ma lame.

Doubhée était visiblement furieuse, contre tout, contre Forra, contre son misérable échec et contre cette rivale qui venait de la découvrir, CHEZ ELLE ! Alors elle ferait en sorte de ne plus être déçue, mais elle devait à tout prix reprendre son froid.

-Une assassine rivale, que me vaut-elle ta visite dans ma forêt ? Fit-elle en se reprenant et plus pour elle-même.

Doubhée la scruta, de la tête aux pieds, juste de dos, elle pouvait vraiment l'affirmée, que cette personne fessait le même métier qu'elle, mais pour des raisons peut-être différentes.

Linas

Cela faisait deux jours que je suivait ma soeurs, nous étions toujours ensemble, elle devait savoi que j'étais la, elle me ressentais, une jeune femme l'interpela, elle ne semblas pas très contente apres ma soeur.
Elle voulais savoir pourquoi ma soeur avait tuée cet homme, je sautais dèrienr la jeune femme

"peut être par ce qu'elle est une assassin et qu'on le lui a demander"

je regardais ma soeur, ouis je souris à la jeune femme

"de plus tu n'as pas de territoir, un assassin reste un assassin il vagabonde ou bon lui semble on nous donne 2000 pièce d'or si on tue ce Forra, de plus, essai de faire du mal à ma soeur et je n'hesiterais pas à te tuer."

Je regarfais ce que faisait ma soeur

Lania

Je profitais de l'innatention de la jeune femme pour rejoindre mon frère, je riais

"je n'ai pas envi de te mettre des battons dans les roues, je fais mon metier, ce n'est de ma faute si mon frère et moi somme très prisés, tout le monde nous connais, sauf toi apparement"

Je regardais la jeune femme dans ce qui lui servait d'yeux

"ce n'est pas de ma faute si je suis née pour tuée, il est sur qu'en te voyant, tout le monde n'est pas pareil, comme a tu fais pour faire tan de boucan, il leur aurais fallut 14 journée complète pour qu'il comprènnent que le roi était mort, tu as eu cette mission juste par ce que nous l'avions reffuser"

"nous etions sur un coup, un heut démons, quelque chose de très interessent je doit dire, et les démons ne sont toujours pas à notre recherche"

"mais il suffit de te voir pour comprendre, tu es une assassin mêlée non une assassin furtive!"

"cela n'ets pas un mal, mais la discretion n'ets pas ton fort!"

je posais mes mains sur la brance de l'arbre et balançais mes jambes en arrière, puis je tombais sans le moindre bruit, mon frère me suivit sans bruit lui aussi

"maintenant excuse nous mais nous avons de l'argent a gagner"

Doubhée face vers la direction de la jeune assassine qu'elle vait pisté sentis soudainement un autre individus qui les avais lui aussi pisté. Un autre assassin lui aussi. Était-ce devenus un lieux de rendez-vous d'assassin ? En plus c'était devenue le lieux où elle c'était établie pour vivre et dormir pour faire sa mission. Oui, cet assassin avait bien raison, un tueur ne doit pas avoir de territoire mais Doubhée fessait comme elle l'entendait depuis que son Maître assassin c'était fait tuer par elle par accident. Mais sa menace de la tuer si elle toucha à la fille la titilla. Elle resta tout de même sur ses gardes car deux assassin, si ils étaient doués comme elle allait être eu ne vrai partie de plaisir et en plus, elle c'était faite blesser. La jeune fille se pointa à son tour dans son champs de vision. Bien sur qu'elle ne les connaissait pas, elle ne fait que voyager et ignore tout de se qui se dit sur terre car elle passe la plus part de son temps qu'elle ne tue pas.<

-Je me fiche de qui vous êtes. Pour moi vous n'êtes que des machines à tuer, des tueurs à gage, ceux qui bafoue l'Art du meurtre. Moi je tue pour la gloire de nos dieux et parfois je dois avoir recours aux contrat pour avoir une pistes pour contrer plusieurs d'entre vous. Je suis moi aussi née pour tué. S'est Habaek qui l'a voulus ainsi, ainsi que la déesse Sahana. Et je ne voit pas pourquoi cela ne vous dérange tant, c'est mon problème, pas le votre.

La jeune assassin irrita à un tel point quand elle entendit être appelé : assassin de mêlé que assassine furtive. Doubhée était très furtive, d'ailleurs c'était sa première mission qu'elle avait raté. Mais en réalité, elle avait tout le long sentis être suivit et cella l'avait agacé mais elle n'Avait pu réussir a localisé. Maintenant c'était devenue très clair, elle avait été suivis par ses deux là. Doubhée resta de glace face à l'insulte. Elle ne devait pas reperdre son sang froid. Encore là, le mâle assassin humain, impurs ajouta qu'elle n'était pas furtive. Sur se elle afficha un sourire.

- Qu'est-ce que vous en savez de ma vie ? Qu’est-ce qui ne vous dit pas que j'ai fait exprès d'échouer ? Et ... qu’est-se qui vous dit que je ne vous laisserais partir d'ici sans égratignures, comme je vous l'ai dit. Ici s'est MON territoire, il y a partout dans cette forêt des pièges destiné aux indésirables et vous m’êtes indésirables. Marcher sur un seul de mes pièges et vous aller mourir dans d'atroce souffrance.

Fit-elle avec un sourire sadique les laissant aller à leurs propres mort puisqu'ils l'avaient cherché en la pourchassant.