joyeux début de quête (Eleo +libre)

Mais je t'assure P'täeyl !! J'avais lu sur la carte qu'il fallait passer par là... Nous devions passer par la ruelle du boulanger Je regardais P'taëyl qui commençait à s'énerver d'être perdue dans une grande ville. Je voyais que sa petite queue gigotait... avec de long mouvement. Puis, elle me dit d'un air arrogant que seul cette demoiselle a. Bah mon grand... Il va vraiment falloir que tu revois ton sens de l'orientation, car maintenant on va devoir se retrouver, toute la nuit s'il le faut !! C'est à ses mots que je me mis à la regarder, les yeux légèrement humides... Je commençais à trembler légèrement et mon coeur battait de plus en plus.

"la...la nuit dehors... Avec tout ces tueurs et tout ces démons ? Mais, c'est horrible ! Non P'täeyl. Je ne veux pas, je ne veux pas... S'il te plais, ne me force pas à cela. C'est la, qu'elle me regardait et d'un regard dur qu'elle me dit que je devais prendre sur moi... Comment pouvait-elle me demander cela ! Je ne pouvais pas dormir dehors la nuit, ce n'est pas que j'avais peur. Juste que ma toute première nuit que je fais hors de ma tours, et je devais la faire dehors... C'est alors qu'un homme d'une trentaine d'année vint me voir et me demanda si je savais où était l'auberge la plus proche... Je le regardais, et la se fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase je lui donna un coup de pommeau dans le ventre et je me mis à courir dans un quartier au hasard, c'est pour cela que P'täeyl se sentis partir en avant.

Je regrettais légèrement d'être partis de ma tour, de mon déjeuné par ma mère le matin... De mon père qui travaillait dur pour moi... Mais cela était du passé... Je devais penser à mon présent et aussi... à mon...coeur qui commençait déjà à se fatigué... C'est ainsi qui je me posais contre un mur, respirant fort recouvrant mon calme, cherchant mon amie du regard.
"Imbécile !! Tu sais bien que tu ne supporte pas le surplus d'efforts... Je n'est pas envie de rapporter à ta mère que tu es mort à t'enfuir d'un poivrot qui te demandait juste un chemin !

J'eus honte l'espace d'un instant... honte car P'täeyl avait raison, il ne fallait pas que je me laisse allez à mes émotions, je devais à tout prix sortir de cette ville. Je suis désolé... Mais tu sais bien que les gens me font peur... Je n'aime pas leurs présence... Ils violent, ils tuent, ils sèment le chaos et la discorde !!" Puis un vent frais vint à mon visage je commençais à sentir l'arrivé de la lune, la belle la douce qui annonçait une belle nuit... dehors. Je regardais mon professeur d'un regard plaintif.
Elle me regarda d'un regards qui me mit une dose de désespoir, nous allions devoir chercher cette nuit. Mais je pris mon courage à deux mains et je commençais à regarder un peux autour de moi, la rue était large et pavée, il ne restait que quelques personnes qui se promenait ça et la. Puis un poids se fit sur mon dos, P'täeyl montais sur mon dos, elle n'est pas bien lourde, huit kilo environs.

Je caressais sa petite tête, elle semblait dur comme ça, mais je pense que je pourrais presque la considérer comme ma soeur, elle avait tellement fait pour moi. Je m'aventurais par ci par la cherchant la sortie... Les grandes villes sont horribles, et pourtant, j'avais l'horrible sensation qu'un malheur allait passer sur ma tête, mais il valait mieux ne pas en parler à la petite boule de poils.

Depuis quelque heures je suivais un être bien amusant, une petit humain et son nounours animé, tel un félin je sautais de branches en branches dans toit en toit dans la plus grande discrétion, je traquais ma future proie, son sang montais jusqu'à mes narines, mais je devrais maitriser la bestiole avant de l'atteindre lui, sans sa peluche il était plus inoffensif qu'un bébé venant de naître.
Je continuais à la survies dans le rue et ruelle de la ville, couverte de ma cape, la nuit tombais bientôt, je pourrais attaquer.

Le jeune homme semblait perdu, un homme lui demandant son chemin le fit paniquer, il détala comme un lapin jusqu'à la grande rue, sa peluche semblait fâchée, d'après elle il aurais un problème de cœur, cela ne le rendrais que plus facile à tuer, je continuais à suivre le jeune homme sur les toits de la ville, il semblait très sensible, et surtout, complètement perdu.

Je fondis sans un bruit sur la peluche une masse de glace à la main, je faillit lui fendre le crane puis ma masse de glace devin une chaîne pour ligoter la bestiole, je la mise dans ma cape la roulant au pieds du jeune homme, puis je m'approchais de lui, l'odeur de son sang commençais a me donner envi de le mordre, de planter mes crocs dans sa chaire tendre et chaude, puis je passais derrière lui avec cette envie irrésistible de sentir ce liquide chaud et velouté couler dans ma gorge et abreuver ma soif, je passais mes mains sur son torse, le tirant dos contre moi puis je humais sont doux parfum, je léchais sa nuque puis le retourna face à moi

"ta peluche n'est pas apte à te protéger, et moi, j'ai soif, sais-tu ce qu'il va t'arriver? mon beau jeune homme?"

J'approchais mes lèvres des sienne plongeant mon regard glacial dans le sien

"je vais d'abord te tirer dans un coin où personne ne t'entendra, laisser ta peluche ici, puis, je commencerais à te torturer, jouer avec mes proies est ce que je préfère, enfin, je planterais mes croc dans ta gorge, juste ici et je te viderais de ton sang, pour finir, je te crèverais les yeux et t'enfermerais dans un cercueil de glace et ton nounours ne pourra plus rien pour toi"

à mes mots, j'exerçais une pression assez forte sur la jugulaire du jeune homme en souriant sadiquement, puis je fis apparaitre une épée au dessus de la peluche en riant

"si tu ne me suit pas, je la tue"

Nous marchâmes cinq minute dans cette ruelle, elle était immense, et veineuse. Nous pouvions passé par presque dix chemin différent, cela me stressé car je n'aimais pas les grands espace ou plein de gens pouvais nous sauter dessus au débotté. Je regardais un peux partout autour de moi, je me sentais vraiment mal à l'aise, un certain mal être d'être ici, peut être que je 'aurais pas du venir ici... Je commençais à reculer pour repartir en arrière quand P'täeyl me tira les cheveux. "Où crois tu aller comme cela !! On continue, c'est pas comme si qu'un ennemi allait nous tom... humpf !

C'est ainsi qu'une masse sombre vint nous tombé dessus, envoyant P'täeyl dans le décors, j'eus à peine le temps de crier ou même d'essayer de faire quelque chose d'un temps sois peux censé que je vis que mon amie était enchaînée etfaill qu'elle saignée au visage... Je respirait fort et vite, je ne comprenais pas bien ce qui se passait mais ce que je savais c'est que je perdais la situation de mon corps je commençais à tendre une main hésitante appelant P'täeyl... Mais aucun mots ne sortit, juste des souffles coupés par l'incapacité de faire quelque chose... C'est ainsi que la chose qui assomma mon ami se leva et s'approcha de ma direction, je ne savais pas ce qu'elle allait me faire mais vu son regard sanguinaire je sus que ma fin s'approchais à grand pas...

Elle se posta juste devant moi le regard d'un prédateur sur sa proie, j'étais pris au piège... Et sans P'täeyl je n'étais rien, juste un garçon presque normal mais qui en plus souffrait de maladie cardiaque. Sa langue se posa sur mon coup et la je com...pris j'avais a faire à un vampire... C'était horrible, je me sentais déjà partir de se corps, mais pourtant je restais la à regarder la scène impuissant et meurtris de savoir que "P'tal" allait surement mourir par ma faute !

Elle me regarda et me se moqua de moi car sois disant que je n'étais rien sans P'täeyl... ce qui n'étais pas faux. Mais ensuite elle me demanda ce qu'il allait m'arriver... Et la... Jamais mon coeur n'avais battu aussi vite, je ne savais pas quoi pensé j'étais au bord de la défaillance, devais je me battre avec une femme qui me tuerais en un regard ? Regard froid qui s'approcha du mien pour m'expliquer se qui allait se passer. Torture, succion du sang, yeux crevé, et un repos dans un cercueil de glace à jamais... Je commençais à sentir mes yeux me picoter je commençais presque à pleurer. Je n'aurais jamais du quitter ma tour, pourquoi l'avais je fais ! Ça ne se serait pas passé comme a si j'étais resté dans ma tour... Que je n'avais pas fais la bêtise de la quitté.

Je me refermais un peux sur moi même quand un doigt se posa sur l'une de mes veines du cou... Je sentais mon coeur battre et je m’imaginais l'appétit de cette femme... Mais si il battait encore un peux plus longtemps comme ça je ne risquais pas de continuer ma vie encore longtemps. Puis elle me demandais de la suivre... Sinon je pouvais dire adieu à "P'tal". Donc j'acceptais sans un regard puis d'un geste désespéré je lançais un trait d'arcane sur les chaînes, faisant tomber P'täeyl, j'en profitais pour courir la prendre et m'enfuir... Mais mon coeur était d'avis de la vampire... Je devais mourir. C'est pour cela qu'après juste une foulée je me retrouvais à terre en train d'agoniser par les douleurs, gardant P'täeyl dans mes bras.

Je ne savais vraiment plus quoi faire... j'étais au fond d'un gouffre qui m'aspirais légèrement. Sentant l'étreinte glaciale de la mort venant à moi je tomba dans le désespoir et je me me mis à pleurer. Pas les larmes d'un guerrier venant de perdre sa femme ou un compagnon au combat. Mais plutôt d'un jeune enfant qui apprend qu'il allait bientôt mourir. Le pavée froid me brûlais la joue et les larmes firent de même. Je la regardais le visage suppliant, les larmes coulant abondamment puis dans un efforts surhumain je lui demandais. "Grâce... Madame, ne tué pas P'täeyl, elle n'a rien fait... Mais je vous en supplie.. Pourquoi voulez vous me tuer, pourquoi moi ? Je vous est fait quelque chose de mal ? Je vis ? Pourquoi attaquer un enfant... Je suis juste venu ici pour rechercher mon père pourquoi ne voulez vous pas me laisser faire ? je fis une courte pause laissant le temps à mes soubresaut de se calmer. puis je lui dit d'un air qui je priais si je devais survivre que plus jamais j'aurais. Mais bon... Si vous voulez me tuer... Allez y je devais mourir de toute façon... Mais pas comme ça...

Je tendis donc mon cou et je me mis à hurler tout en pleurant je crois que si P'täyel aurait était la, je veux dire si elle aurait était consciente elle m'aurait frappé et demandé de me ressaisir et de ne pas me laisser avoir par ça. Mais sans personne avec moi comme disait al vampire... Je n'étais rien, donc j'attendais tout en pleurant la mort qui m'étais dû.

adieux maman...

Le jeune homme me supplia de ne pas le tuer, il ne voulais vraiment pas mourir, et ne voulais pas non plus que je tue sa peluche qu'il serrai dans ses bras en pleurant, une image vint alors dans ma tête, cette nuit glaciale ou je serrais mon petit chat dans mes bras avant que mon père ne le tu et me... me... viole, je ravalais ma salive puis m'approcha du jeune homme en larme afin de le relever, je le regardais, lui et sa peluche, mes yeux toujours aussi glaciale, mais ma méchanceté me lâchais face à ces images, petit à petit je n'avais plus envie de le torturer, je plongeais alors mon regard dans le siens, sans aucune méchanceté puis je léchais le sang de la peluche pour la soigner puis je regardais le jeune homme

"je vais t’épargner, je n'ai finalement plus envie de te vider de ton sang, je n'ai... plus soif..."

Je fermais les yeux, j'aurais pleurer si j'avais de larmes, je ne pouvais pas le tuer, puis je me retournais sans le regarder m'avançant dans une petite ruelle, j’essayais de chasser ces images noires de ma tête, je marchais à grand pas croisant une jeune femme qui se mis à hurler face à moi, je soupirais puis la plaquais contre un mure et sans même prendre le temps de la torturer, dans ma colère contre moi même je laissai son corps gisant sur le sol, sans même prendre la même de l'enfermer dans un de mes cercueils, puis je continuais mas route à grands pas, avant de m’asseoir dans le fond d'une ruelle, presque recroquevillée sur moi même, je soupirais à nouveau, mais de tristesse cette fois mon cheval était près de moi

"j'ai perdue toute crédibilité ce soir, moi qui aime tant traumatiser les gents, j'espère que ce jeune homme se souviendra de moi, mais je n'ai aucune envie de le tuer, et même si j'avais envie, je ne pourrais pas... j'aurais du le laisser tranquille dès le début mais quelle honte"

je rageais, détruisant tout ce qui se trouvais sur mon passage, comment un gamin et une peluche ont ils pus me faire perdre mes moyens je devais me ressaisir, j'étais Eleonorae Morticia, je n'avais pas de coeur...
Non, je n'avais pas de coeur, puis, je viens de souffrir à cause de lui, je remontais sur les toitures de la ville pour retrouver le jeune homme, il était toujours au même endroits, et semblais choqué je fondis à nouveau sur lui, mais cette fois, je plantais mes crocs dans sa chaire, le tirant vers la ruelle où j'avais été, laissant sa peluche sur le bord de la grande route, puis je le mis debout face au cadavre que j'avais laissé en le regardant un sourire sadique affiché au visage

"voila ce que je vais te faire, en fait, je ne vais pas te laisser vivant, tu vois ce cadavre, il a eu de la chance, je ne l'ai pas torturé... c'est tellement plus excitant quand les victimes sont comme toi"

je posais ma main sur son cou en serrant tout en approchant mes lèvres de son oreille

"plus tes larmes couleront, plus j'aurais envie de te mordre, plus l'attente sera longue et douloureuse"

je fis tomber le haut de ses vêtement l'exposant torse nue face à moi, puis d'une griffe de glace je dessinais une tranché qui partais de son cou au bas de son ventre, une tranchée assez profonde pour que le sang coule abondamment mais assez légère pour qu'il ne meurt pas, je répétais l'acte sur plusieurs partie des son corps, en essayent d'être la plus douloureuse possible, puis je commençais à enfermer ses jambes dans un début de cercueil de glace, puis je pris sa mains dans la mienne d'une infinie douceur avant de lui rompre les os puis de lui arracher quelque ongles, j'adorais le son des os qui se brisaient dans la chaire, je retournais près de l'oreille du jeune homme

"que fais-tu loin de ta maman chérie? que pensera t'elle quand elle apprendra ta mort?"

je m'approchais de ses lèvre pour en mordre la lèvre inférieure et faire couler a nouveau un peux de sang dans me bouche puis le fixai froidement

"je vois que tu ne me connais pas, je suis Eleonorae Morticia, beaucoup d'humain me connaissent car je suis aussi froide que la glace qui t'entoure alors la petite baisse de régime que j'ai eu tout a l'heure doit être cachée, c'est pour cela que, je vais te tuer"