Diplomate d'un jour....[PV Nym]

**Qu'est ce que j'ai fais pour être tomber si bas...**
**Tais toi et rame!**

Je sentais mes muscles s’épuisaient a force de ramer....et l'estuaire était légèrement tumultueux.Je profita d'un moment de calme entre deux vagues pour me ressasser encore un fois les raisons de ma venue dans cet endroit puant le poisson et la religion humaine.Encore envoyé comme boulet messager en territoires humains,le conseil m'avait demander de chercher des allies dans du cotes des religieux de Anouatis.Certains chamans gardaient de profond liens avec certains religieux et leurs appuis ne seraient pas négligeant si les Animas devaient demander l'aide aux Humains...demander de l'aide aux humains,je préférais copuler avec une naine que coopérer avec ces racistes de premières mais bon on ne révoque par les décisions du conseil.Voila pourquoi je me retrouvait en train de ramer en plein milieux d'un fleuve a des kilomètres de mon clan ou j'avais du payer un prix exorbitants pour m’exténuer a la tache...mais bon c’était le seul moyen pour entrer discrètement dans le monastère.

Au bout d'une heure de traverser intensives,le barrage impressionnant des Anouatis vu dans mon champs de vision,au loin on pouvait croire que c’était une chaîne de montagne lointaines mais plus on se rapprochait et mieux on voyait que c’était un monument humain,grand, impressionnant, majestueux mais qui ne sert a rien a part polluer et déranger l’écosystème mais bon c'est pas le moment de faire de l’écologie.Le vent se coucha et la fin de la traverser fut plus calme et moins fatiguant mais ce fut quand même essouffle sous le regard sadique du passeur que j'arriva sur les dalles de l’embarcadère après lui avoir jeter un regard noirs et je rabaissa le capuchon sur mon visage pour éviter les mauvaises rencontres et prit le chemin de l'abbaye, c’était un jour de foule et des êtres de tous les races se confondaient pour transférer les marchandises au port au bas du barrage,je prit le chemin inverse et monta les hauteurs ou était situe le monastère.

J'y ressortit une heure plus tard,satisfait de ma rencontre avec les moines contrairement aux autres humains ils avaient un certains respects pour les Animas et m'avait accorder avec joies leurs soutiens en cas de crises.Le coeur léger je descendis vers le port ou je m’arrêta dans une gargote pour manger un bout,sa puait le poisson et la bière rance mais bon il me restait que peu d;argent après avoir tout dépenser pour le guet.Je regarda avec curiosités,un groupe de marin jouait au des avec un homme qui ne ressortait pas du tout avec le reste de l'endroit,il devait avoir la quarantaine et portait des vêtements de très bonnes qualités et avait la peau pale des nobles malgré le teint rouges que lui avait donner de la bière.Alors que je l'observais ,il se tourna vers moi et la stupéfaction m'envahit cette homme n’était que un de nombreux fils du comte de Anouatis avec qui j'avais eu une relation plus que tendue a cause d'une histoire de taverne.

Je sentis la rage montait en lui et l'entendis faire un cris que je croyais que seuls les ours enrages pouvaient faire,il sortit son épée et se dirigea vers moi, prêt a en découdre,normalement j'aurais pu essayer de le combattre mais je voyais déjà des gardes rappliquer en réaction au cris de l'autre et me voyant mal vaincre une dizaines de gardes,je pris la poudre d'escampette.La sensation que on a quand on est poursuivie par un noble enrage et une douzaines de gardes est très spéciale mais bon je ne me plongea dessus sur le moment et courra entre les ruelles pour arriver je ne sais comment sur les toits,les gardes et le noble me poursuivaient toujours et je commençais a gagner de la distance quand je fus piéger comme un rat,d'un cote j'avais le précipice qui donnait sur la mer,de l'autre des gardes assoiffes de sang.Je soupira et sortis ma dague...

**Bah au moins je vais mourir avec honneur...enfin si on peut dire cela...**
**J'en suis pas si sur...**
**Defois je hais ton omniscience Nydrassil...**
**Moi aussi je t'aime Handoar**

Invité

Maman !! regarde le monsieur noir ! il est drôle !!
Ne t'occupe pas de lui ! C'est un Drow, il va venir te tuer si tu le regarde
Je n'en croyais pas mes oreilles. Moi ? Tuer quelqu'un ? Et qui plus est un enfant... Cela me mettais presque hors de moi. Je ne faisais rien de mal. Ah oui, que je ressasse un peux se qu'il se passe. Je voyage depuis bientôt une semaine. Sans argent. Evidemment il faut bien que moi, drow puisse manger et dormir comme tout le monde. Alors je suis venu ici au barrage des Anouatis...

Dansant et chantant dans la ville, qui est la plus raciste de tout shibai... Ici la population d'humain débordait, mais celle des autres races... Je ne peux pas trop dire. Tout les soirs il y a meurtre qui se produit, sur au moins une race non-humaine. Depuis trois jours tout le monde était contre moi... J'étais le mouton noir si l'on pouvait dire. Puis ce jour ci fut un peux plus mouvementé. J'étais tranquillement en train de chanter une chanson sur la compassion et le respect des gens. Quand trois gardes vinrent à moi.

Eh ! La noiraude !! viens par ici !! Je ne les écouté pas, trop absorbé dans ma musique, quand l'un deux me pris par le bras, assez violemment. Je pus noter les armature en cuir de basse qualité. Puis le plus grand (et gras) des garde me regardait de haut. Toi... On te veux pas ici ! Je le regardais, d'un air surpris. Puis il me cracha à la figure. Décampe avant que l'on te fasse disparaître La... s'en était de trop. Je n'en pouvais plus, la rage me montais aux oreilles. Je déposais mon luth dans mon sac. Puis tranquillement je le regardais et lui dit.

Mon bon monsieur, sachez qu'en tout auprès de vous... Votre pantalon est baissé. Il semblait surpris, quand il vit que son pantalon était abaissé, et qu'il avait un joli trou dans son caleçon. Je pouffais de rire, enfin non. J'explosais de rire.
Sale drow... Tu va mourir, dit adieu à ta vie. Je m’arrêtais de rire, sentant que les choses tournaient mal. Le soldat le plus éloigné sortait son cimeterre de mauvaise facture. Des traces de rouilles dessus, l'autre une Morgensteirn. Quand au gros lard, lui il sortait une petite dague.

Je respirais profondément, avant de sauté, écrasant mon pied dans la figure de l'home par la même occasion. Je commençais à courir dans les ruelles, le pavé était mal positionné, la moindre erreur et je me foulé une cheville. Ça puait la pisse partout, les méthodes d'évacuations de déjection était mal entretenue. Je ne savais pas où j'allais, je courais juste le plus vite possible. Sortant mon cimeterre et ma dague. Au détours d'une ruelle, je faisais tombé un tonneau pour les ralentir. Je courrais depuis une bonne dizaine de minute, quand je commençais à baisser mon rythme, quand je vis un jeune homme passé devant moi à une vitesse assez impressionnante, je le regardais partir, quand un soldat me percuta, et repris sa course sans s’excuser. Je les laissé passez. Ils devaient être une bonne dizaine voir plus, quand j'entendis rager une personne et crier aux gardes d'attraper l'anima.

Un anima ? Ne serais-ce pas un sorte d'humain animal ? Mais d'après ce que je voyais, ces personne voulaient du mal à une pauvre victime... Je devais les en empêcher. Je commençais donc à les suivre, puis je vis qu'ils continueraient encore sur quelques bâtiment. Je m’arrêta devant un bâtiment, et l'escalada, cela était simple, bien que les rebords en granit me faisaient mal aux mains. Arrivé en haut, je sentis un vent frais me caressé les cheveux. Je commençais donc ma course folle pour sauvé se pauvre jeune homme. Puis courant cinq six minute, je vis la personne monter sur les bâtiments, suivit des soldats, avide de sang. Je m’arrêtais, et regardais l'action, l'anima était au bords du gouffre, en très mauvaise posture. Je m'avançais discrètement et activais mes runes. Je dit doucement " akazanaziel " mon arbalète s'illuminait d'ne lueur bleu et puis... je m'arrêtais, respirais fort et tira. Une douzaine de flèche touchèrent leurs cible. Les gardes commencèrent à se mettre à rire. J'en profitais pour courir voir le jeune homme. Tranchant quelque cou de quelques gardes.

Bonjour, je crois qu'un peux d'aide ne serait pas de refus d'après ce que je vois. Mon gaz ne faisait plus effet. Les gardes se relevèrent, les larmes aux yeux. Ils ne savaient plus ou donner de la tête. Puis vite fait, ils étaient prêt à nous tuer... Si tu as une idée.... Dit-le moi, car moi je vais dans le tas je me mettais en position défensive regardant le jeune homme à côté de moi. Puis je fis un pas... Pris ma dague... La lança. Elle s'écrasa en plein milieux du front d'un garde raciste... Je n'aimé pas me battre, mais les tuer étaient satisfaisant. Je couru prendre ma dague, en profitant pour taillader de la chaire. J'avais déjà tué sept gardes, je croyais que l'on était tiré d'affaire. Quand une vingtaine de garde se mirent à venir vers nous. Je crois que ceux là... c'est de ma faute. J'étais en panique je regardais l'anima. Espérant qu'il nous trouve une solution.

**Pourquoi il faut toujours que je m'embourbe dans des situations pareilles?**
**Tu veut vraiment que je te dise tout la liste?**
**Tu pourrais pas etre utile pour une fois ?**
**Bah je peut essayer un truc mais sa va prendre un petit bout de temps**
**Pas trop non hein?**

Mais ma question resta sans réponses,comme d'habitude j'ai envie de dire...Je dévisageais les gardes qui me tenaient dans leurs champs de tirs,les arcs bandes et les épées dégaines prêt a me découper en rondelles.Le noble avait perdu peu de sa noblesse,les cheveux en batailles et ressemblait a un malade victime de la rage ou un nouveau lycan.Ces yeux brillaient étrangement et j'avais l'impression que j’étais un cochon qui allait passer a la boucherie.

-Tout cela pour un malentendus... pffff que la vie est triste laissais-je passer dans un souffle quasiment inaudible.

Je sortais déjà ma dague rouille,ce qui provoqua quelques ricanements du cotes de gardes,si ils savaient...J'allais commencer a attaquer quand soudainement les gardes commencèrent a s’écrouler par terre,non ils n’étaient pas morts mais étaient entrain de rire,je commençais a être légèrement perdus quand je vis apparaître ,ce qui semblait être un drow par sa couleur de peau.Le drow en question arriva vers moi en tuant un ou deux gardes sur son passage.

Je ne put que affirmer son observation par un hochement de tête, effectivement de l'aide n’était pas de trop... Malheureusement le sort ou le gaz en question avait l'ai d'avoir disparus et les gardes revenaient a eux,suffoquant et reprenant leurs respirations mais prêt a en découdre.

Mon étrange sauveur me demanda si j'avais une idée mais c’était comme si une banquise s’était installer dans ma tête,le blanc totale...Pourvu que Nydrassil trouve quelques choses..Mais le drow commençais déjà a massacrer les gardes et lui suivit tranchant des gorges,des membres..Le sang m'aveuglait mais tout a coup je vis mon partenaire s’arrêter et quand je vis que une vingtaine de gardes arrivait je perdis courage...

Ils commencèrent a nous encercler et je fut prit d'une grande lassitude sur le moment.

**C'est bon j'ai préparer quelques choses qui devrait leur faire plaisir...Laisse toi faire**

Mais avant que je put faire le moindre geste ou dire la moindre parole,je ne contrôlais plus mon corps,je n’étais qu'un témoin passive de ce qui se passait,mes main se posèrent sur les tuiles en ardoises sur laquelle nous étions,je voyais mes tatouages brillaient clairement sur ma peau blanche et tout un coup je sentis une grande force m'envahir et dans un cris l’évacua dans les tuiles sous les yeux des gardes incompréhensifs.

Pendant quelques secondes,personnes ne bougeaient,tous attendait de savoir ce qui allait se passer quand tout a coup des racines sortirent brusquement du sols,enfin du toits,pour attraper les soldats et les lançaient dans le précipice.Mais ce fut de courtes durées,les racines étaient rapides mais pas robustes et les gardes comprirent rapidement comment se débarrasser mais le mal était déjà fait...de vingt-cinq gardes,il ne rester que une dizaine sans compter le noble qui comme tous les nobles humains prenaient la fuite.

Une fois en possession de mon corps,je laissa mon partenaire finir le boulot,trop épuiser par ce tour de force...

Invité

Je n'arrivais pus à suivre la cadence... certes je suis un maître épéiste, mais vingt-cinq personne contre une, cela fait très inégale.
Et pourtant, je parais tant bien que mal, ma dague déchirait la chaire pendant que mon épée elle, s'entrechoquait contre celles des gardes. Une lame vint me frôler le bras, laissant une petite coulée de sang, je ne pouvais pas croire ça, ils arrivaient de mieux en mieux à me toucher... Cela risquait d'être embêtant. Je ne décidais que de parer les attaques... Je commençais à doucement faiblir.

Un bruit fracassant vint à mes oreilles, je regardais le toit et des grandes lianes venaient de sortir.... Des grandes lianes !! !! Je n'en croyais pas mes yeux, je me tournais vers le jeune homme, qui... n'était plus lui même, il semblait avoir gagné une force intérieur. Je le regardais bêtement, ébahis par la prouesse de ce petit bout d'homme. *Schlack* Venant de me prendre une coup de fouet par la dernière des lianes, je vis que des vingtaines de soldats... n'en restait que dix à tout casser. Je souris et je m'approchais de leurs directions.

Ils avaient peur... Je les comprenaient, mais bon, ils ont voulu me tuer et tuer mon jeune ami... Je devais les faire payer. Je m'approchais du premier, il me fit un magnifique coup d'estoc, mais trop lent... Je l’esquivât d'un habille petit saut en arrière, puis je lui trancha la carotide de ma dague, vu l'expression sur son visage, il n'était pas au courant que cela était possible en une vitesse pareille. Les gardes commençaient à s'enfuir, je sortis mon arbalète, et tira dans leurs directions... Comment dire, si nous devions résumer le carnage. une dans le mollet, l'homme tomba par terre de douleur, une dans la gorge d'un autre, il ne nous causera plus de soucis, malheureusement les autres étaient partis... et je priais pour qu'il ne rappliquent pas avec leurs copain... Devant ces cadavres, je mis un genou à terre et d'une voix solennel. "requiem in pace" Ils avaient voulu nous tuer... c'est leurs droit, mais c'est nous qui leurs avons ôté la vie. nous nous devions de les envoyé en repos éternel.

Je me retournais vers le garçon et pris peur d'un coup, il était à terre, je couru en sa direction. Je me jeté à son torse et j'écoutais les battements de son coeur... Il 'était pas mort, je regardais si il était blessé, non, rien.
Je souriais doucement, content qu'il n'est rien. Je le pris donc dans mes bras, et je l'emmenait en lieu sur. Je marchais donc sur la toiture doucement, évitant les trous. Arrivé par terre je pris la direction de la grande rue, opur pouvoir sortir de la ville et être plus en sécurité. Je marchais tranquillement écoutant les murmures des passants. "regardez les filles... le gâchis... Pourquoi c'est les plus beau hommes qui sont toujours.... Vous voyez ce que je veux dire. Je rigolais doucement, quand je pris conscience qu'elle parlait de nous... Il faut dire que je portais dans mes bras comme deux amants après leurs mariage.

Je commençais donc à me dépêcher sortant de la ville, arrivant au bois, je posa le jeune homme par terre, mon sac sous sa tête. Je lui apportais de l'eau, et des fruits à côtés de lui. Je commençais à lui taper sur la joue. Debout bel endormis, il est l'heure.. me laisse pas seul s'il te plait. Attendant sa réaction, j'en profitais pour nettoyer mes armes. Elles étaient pleines de sang, et s'était quelque chose de très mauvais goût. Puis ayant fini de les nettoyer j'en profitais pour jouer un peux de luth, chantant des ballades sur des compagnons quêtant dans des donjons. espérant un réveil au plus vite du miens de compagnons.

Ce n’était pas la première fois que je laissa Nydrassil s'occuper de la situation mais la ...Il m'avait vider....Le temps semblais s’arrêter ou s’accélérait je ne pouvait le définir mais seulement des images floues me venaient dans mon esprit tout aussi brumeux que les quais du Barrage.Un moment je distinguais des hommes en rouges fuirent du toit et la seconde d’après je traversais la ville dans les bras de quelqu'un mais j’étais trop embrouille pour savoir si c’était une bonne ou une mauvaise nouvelle,puis je sentis soudain qu'on me déposait au sol et que on me place un objet derrière la tête.Et alors je sombra dans une profonde transe réparatrice.

Je ne sais pas si c'est le contact avec la terre de la foret ou je m’étais endormi qui me fis cette effet,mais je vis passer a travers mon esprit de nombreux flash d'une netteté inouïe,je passais de la scène de chasse d'un ours a la scène de reproduction d'un bûcheron et d'une bergère pour arriver a mon grand étonnement a une image me montrant allonge par terre avec un drow assis non loin de moi qui avait sortit une lutte et commençait chanter des ballades dont je ne connaissais que la moitie au moins...

Je fus trouble par cette vision et je ne pouvais pas m'enfuir obliger d’être le témoin passive de cette scène mais tout a coup, me revint a l'esprit que mon camarade de combat sur les toits ou plutôt mon sauveur était un drow et soudain je compris que par le contact de la terre j’étais sorti de mon corps et avait errer dans la foret!

Au moment ou je sentais la panique montait en moi,je me sentis aspirer par une spirale invisible mais irrésistible et je ferma les yeux quand je l'ai ouvrit je me sentis beaucoup plus lourds mais j'essaya de me lever mais en vain et je me tourna vers l'eau que mon mystérieux sauveur avait mis prés de moi et je but une longue gorgée.Une fois le gosier hydrate,je me tourna vers lui:

-Merci beaucoup pour tout ce que vous avez mais je peut vous demander une chose qui peut paraître débile mais qu'elle est votre nom et que faisiez au barrage?

[HRP:Desole pour le temps que j'ai mis a repondre :/ ]